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Violer une morte

Au tribunal le juge s’adresse à l’accusé :
– J’ai vu dans ma vie d’horribles personnages, mais des comme vous, j’en avais vu. Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait ?…violer une morte c’est épouvantable.
– Ah mais je savais pas qu’elle était morte votre honneur….je croyais que c’était une anglaise.

Les chasseurs belges

C’est une fois 2 belges qui vont à la chasse au faisan pour la première fois. Ils ont tout l’équipement nécessaire : Les habits kaki, les chiens de chasse, les fusils, les bières, etc.

Ils vont dans les bois et après la journée tous les chasseurs ont leur lot de faisans, mais nos 2 gaillards n’ont rien eu du tout. Un des 2 gars dit à l’autre :
– Je me demande pourquoi on a rien capturé ?
– C’est peut-être parce que l’on a pas lancé nos chiens assez haut !

La blague du bonheur russe

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Le bonheur, pour un français, c’est de se retrouver un soir dans un restaurant 5 étoiles, accompagné d’une créature pulpeuse à souhait, langoureuse que ça en devient délicieusement insupportable… Le repas est exquis, le cigare parfumé…
Puis vous montez dans la suite nuptiale…
Le lendemain, vous descendez et le maître d’hôtel vous apprends que tout cela était offert…
Voilà LE bonheur pour un français !

Le bonheur, pour un anglais, c’est de se lever à 5h du matin. Dehors, il fait nuit, il fait froid, il y a du brouillard, il pleut et il faut sortir faire pisser le chien.
Alors vous sortez, les voitures vous éclaboussent en passant…
Voilà LE bonheur pour un anglais !

Le bonheur, pour un russe, c’est d’être réveillé à 3h du matin par des coups frappés à la porte.
Vous vous levez, tremblants, vous ouvrez la porte ; il y a 2 agents du K.G.B. (sic !) dehors.
Ils demandent : « Ivan Petrovitch ? »
Vous répondez : « C’est en face »…
Voilà LE bonheur pour un russe !

Le Corse qui cherchait du travail

Un Corse fait la sieste. Sa femme se met en colère :
– Cette fois, Antoine, dit-elle, j’en ai assez. Voici les journaux du jour, tu vas me faire le plaisir de lire les offres d’emploi et de trouver un boulot.

Bon gré, mal gré, il se lève et se plonge dans la lecture des petites annonces. Une demi-heure plus tard, sa femme l’interroge :
– Alors, tu as trouvé une place ?
– Oui, dit-il. Ta mère commence demain.