Philosophie

La pensée positive

Si un jour, tu te dis cela :

Je suis un gros nul
Personne n’osera penser que
Je suis capable d’accomplir de grandes choses
Je sais que
Je raterai tout ce que j’entreprendrai
Je ne crois plus que
Je peux réussir
Je suis persuadé que je ne vaux rien
J’ai arrêté de me dire que
J’ai confiance en moi
Je suis convaincu d’une chose.
Je suis quelqu’un d’inutile
Et ce serait idiot de penser que
Je suis une belle personne.

Alors relis-le, mais de bas en haut.

La blague du président du monde

Première question :

Supposons que vous connaissiez une femme qui est enceinte, mais qui a déjà huit enfants, dont trois sourds, deux aveugles et un mentalement attardé. De plus, cette femme a la syphilis. Lui recommanderiez-vous d’avorter ?

Répondez mentalement, puis lisez la seconde question.

Deuxième question :

Il est temps d’élire le Président du Monde, et votre vote sera déterminant. Voici les données concernant les trois principaux candidats :

– Le candidat A est associé à des politiciens véreux et consulte des astrologues. Il a eu deux maîtresses. Il fume comme une cheminée d’usine et boit huit à dix martinis par jour.

– Le candidat B a déjà été viré deux fois, il dort jusqu’à midi, fumait de l’opium au collège et boit un quart de litre de whisky chaque soir.

– Le candidat C est un héros de guerre médaillé. Il est végétarien, boit une bière occasionnellement et n’a jamais eu d’histoires extra-conjugales.

Parmi ces trois candidats, lequel choisiriez-vous (honnêtement) ? Faites d’abord votre choix, ne trichez pas, puis lisez la réponse ci-dessous.

Le candidat A est Franklin D. Roosevelt.
Le candidat B est Winston Churchill.
Le candidat C est Adolf Hitler.

Comme quoi, il faut toujours se méfier des personnes qui ont une vie trop saine…

Au fait, s’agissant de la question de l’avortement : si vous avez répondu « oui », vous venez de tuer Beethoven

Ça calme hein ?

Les plaintes de la belle vie

Finalement, la vie n’est pas si mal que ça !

A l’adolescent qui se plaint de la vaisselle à faire, ça veut dire qu’il est à la maison et non dans la rue…

Aux impôts que je paie, ça veut dire que j’ai un emploi…

Au ménage à faire après une fête, ça veut dire que j’étais entouré(e) d’ami(e)s…

A mes vêtements qui sont juste un peu trop serrés, ça veut dire que je mange à ma faim…

A mon ombre qui veille sur moi au travail, ça veut dire que je suis en pleine lumière…

A la pelouse qui a besoin d’être tondue, aux fenêtres à nettoyer et aux planchers à laver, ça veut dire que j’ai un toit…

Aux plaintes faites à nos gouvernements, ça veut dire que nous avons la liberté d’expression…

Au dernier stationnement que j’ai trouvé au bout de la cour du magasin, ça veut dire que je suis capable de marcher…

A ma grosse facture de chauffage, ça veut dire que je suis au chaud…

A la personne derrière moi qui parle trop fort, ça veut dire que j’entends….

A ma pile de linge sale à nettoyer et à repasser, ça veut dire que j’ai des vêtements à porter…

A l’épuisement et à la douleur musculaire à la fin de la journée, ça veut dire que je suis capable de travailler dur physiquement…

A la sonnerie de mon réveil-matin, ça veut dire que je suis vivant(e)…