Blagues métiers

Le rebondissement attendu

Dans un petit village de la région parisienne, un dimanche matin, un homme est en train de jouer au tennis quand la sirène, appelant les pompiers, se met à hurler. Aussitôt il lâche sa raquette et son adversaire, car c’est un soldat du feu, et il se précipite à la caserne de pompiers.

Arrivés sur les lieux de l’incendie, le feu a envahi les étages supérieurs d’un immeuble et une femme est au bord d’une fenêtre, menacée par les flammes.
– Sautez ! crie le capitaine des pompiers.

La dame obéit, saute et vient s’écraser aux pieds de notre joueur de tennis.
– Vous auriez pu essayer de la rattraper dans vos bras ! reproche le capitaine.

Et le type de répondre :
– Mais moi, je l’attendais au rebond…

La fortune du travail

Un journaliste interroge un milliardaire.
– Je voudrais connaître l’origine de votre fortune ou les règles que vous avez employées pour l’établir.
– Très simple, réplique le milliardaire. Je suis parti de ma plus intime conviction : l’argent n’a pas d’importance. Ce qui compte c’est le travail !
– Et c’est à partir de ce principe que vous êtes devenu riche ?
– Non, c’est à partir du moment où je l’ai fait partager par tout mon personnel !

Le bouillon clair

Dans un restaurant, un client se plaint de la qualité du bouillon de poulet qu’on vient de lui servir.
– Il est un peu clair, ne trouvez-vous pas ? lance-t-il au garçon.
– Oh non ! c’est le bouillon qui provient d’une très jeune poule, lui réplique ce dernier. C’est l’eau dans laquelle on a fait cuire les œufs durs !

La blague du vagabond

Il y a fort longtemps de cela, par une nuit d’hiver glaciale, un couple de paysans auvergnats est devant le feu de la cheminée. Tout est silencieux lorsque, soudain, de violents coups sont frappés à la porte. L’homme se lève et va ouvrir. C’est un vagabond qui demande un abri en attendant que la tempête de neige s’arrête. Il vient s’asseoir au coin du feu et demande timidement :
– Vous n’auriez pas quelque chose à manger ?
– Oh !… Bon, répond le paysan qui se tourne vers sa femme. Donne-lui un morceau de pain.

Et la femme coupe un morceau de pain et le donne au mendiant. Quelques minutes se passent.
– Je ne pourrais pas avoir un bol de soupe bien chaude ? demande le vagabond en reluquant la marmite qui fume dans la cheminée.
– Ah non ! répond le maître de maison. Le pain, ça va encore, mais la soupe avec le lard et la poule, sûrement pas !

Au bout de quelque temps, comme la tempête fait toujours rage dehors, l’intrus demande :
– Est-ce que je pourrais dormir ici, cette nuit ?

Devant la mine hostile de son mari, la paysanne prend la défense du pauvre bougre :
– Tu ne vas pas le mettre dehors par un temps pareil ! Il va partager notre lit. Tu te mettras au milieu et comme ça, nous nous tiendrons chaud.

Bon gré mal gré, le mari finit par accepter et les voilà tous les trois dans le lit, le paysan entre sa femme et le vagabond. Au milieu de la nuit, ils sont réveillés par le bêlement des moutons qui sont affolés par la tempête. Le paysan se lève et sort pour les calmer.

Alors, la femme se rapproche de l’inconnu et lui dit tout bas en lui frôlant le bras :
– Tu peux y aller maintenant.
– Mais si ton mari revient ?
– Oh, il n’y a pas de danger, il en a pour un bon bout de temps à les calmer !
– C’est vrai ? Je peux y aller ?
– Puisque je te le dis !

Alors, le mendiant se lève et se précipite pour se servir un bol de soupe chaude.

Les meilleures blagues sur les métiers sont sur Blagues & Dessins !