Le caporal chargé de l’accueil dans un bureau de recrutement reçoit la visite d’un homme qui lui dit : – Je veux m’engager pour cinq années dans l’armée. – Attention ! Cela demande des qualités spéciales. Avez-vous déjà une certaine habitude de la bagarre ? – Et comment ! Je vous jure que si ma femme ne m’y avait pas conduit à coups de pied, je n’aurais jamais eu l’idée de pénétrer dans un endroit pareil !
Quand il arrive à sa nouvelle caserne, l’adjudant s’étonne : – Qu’est-ce que c’est que tous ces trous de brûlure sur votre uniforme ? – C’est que, mon adjudant, avant de venir ici j’étais en service dans le Grand Nord. – Et alors ? – Eh bien, dans cette région, il fait si froid que, lorsqu’on veut fumer une cigarette, on allume son briquet sans le sortir de sa poche.
Des indiscrétions d’une source proche du haut commandement américain ont filtré ! Il semblerait qu’après la fin victorieuse des hostilités en Irak, les États-Unis envisageaient la scission de l’Irak en deux parties, à l’instar de ce qui fut fait avec l’Allemagne à la fin de la seconde guerre mondiale.
Mais contrairement à l’exemple germanique, l’Irak n’aurait pas été scindé en Irak-Est et Irak-Ouest. Les militaires américains jugeaient plus judicieux d’utiliser les appellations « Sans plomb » et « Diesel ».
C’est une histoire qui se passe dans un fort de l’armée américaine, du temps des cowboys et des indiens.
Un beau jour, alors qu’ils sont en train d’uriner dans les toilettes du fort, le capitaine du camp ne peut s’empêcher de voir la BITE MONSTRUEUSE du caporal que l’on avait l’habitude d’appeler « ptite bite ».
Le capitaine lui dit : – Dis-donc ptite bite, qu’est-ce qui s’est passé. On t’a toujours appelé ptite bite, mais je vois qu’il va falloir te donner un autre surnom : ta bite fait bien 30 cm de long, c’est incroyable. – Je vais vous expliquer pourquoi mon capitaine. Il y a deux jours, je faisais ma patrouille de surveillance à quelques miles d’ici, au nord. lorsque, alors que je passais sous un chêne incroyablement haut, je vois un génie posé sur une des branches de l’arbre. Alors le génie me dit : « Je suis un génie. Je peux exaucer un de tes voeux si tu le désires. Je t’écoute ! ». Alors moi je lui ai demandé un sexe comme mon cheval. Depuis le temps qu’on me surnommait ptite bite, je n’attendais que ça… Voila l’histoire.
Le même jour, le capitaine prend son cheval, et va en direction du nord. Arrivé près du grand chêne, il trouve effectivement le génie… et les militaires étant ce qu’ils sont, il ne trouve pas d’autre vœu à formuler que celui de son caporal : – Génie, puisqu’il paraît que tu peux réaliser un vœu, j’aimerai avoir un sexe de la taille de celui de mon cheval !
Une heure plus tard, le capitaine rentre au fort en hurlant : – QUEL EST L’ABRUTI QUI M’A SELLÉ UNE JUMENT ?
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