blague échange

Le président Reagan est un con !

Ça se passe du temps de la perestroïka.

Le camarade Youri a été autorisé à se rendre aux USA dans le cadre d’un échange. Il est hébergé chez Bill, ouvrier de la Général Motors.

Bill :
– Ah mon ami, vous arrivez dans le pays de la planète où il y a le plus de liberté. La Preuve ? Je peux aller à Washington, devant la Maison Blanche et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et personne ne me dira rien, et la police ne me fera aucun ennui !

Youri :
– Da, mais URSS aussi être pays de liberté : Je peux aller à Moscou, devant le Kremlin et crier à tue-tête : « Le président Reagan est un con » et bien, il ne m’arrivera rien non plus.

Le cadeau d’anniversaire

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Un jeune homme voulait acheter un cadeau pour l’anniversaire de sa fiancée, en voyage d’études à l’étranger.

Pour se faire aider dans cette tache, il se fait accompagner par la sœur de la fiancée, et ils vont dans un grand magasin afin de trouver quelque chose d’original.

Finalement, après une bonne demi-heure d’hésitations, le fiancé se décide à acheter une paire de gants, alors que pendant le même temps, la sœur de la fiancée en profite pour s’acheter une paire de petites culottes pour elle-même.

Au moment d’emballer les achats, la vendeuse mélange les articles du jeune homme et de la sœur.

Sans vérifier le contenu des colis, le jeune homme envoie les petites culottes (qu’il croit être des gants) à sa fiancée avec le petit mot suivant :

« Ma Chérie,

Voici un petit cadeau pour te prouver que je n’ai pas oublié ton anniversaire.

J’ai choisi ce cadeau car je me suis aperçu que tu avais l’habitude de ne pas en porter lorsque tu sortais le soir.

J’ai failli en prendre d’une longueur beaucoup plus importante, mais la vendeuse m’a conseillé de choisir au plus court car il est alors plus facile de les retirer.

J’ai opté pour une couleur claire, qui pourrait être salissante, mais la vendeuse m’a montré une paire qu’elle avait portée pendant trois semaines et qui était à peine sale.

Elle en a d’ailleurs fait l’essai devant moi et ça lui allait très bien.

J’aurais aimé être là pour te les enfiler moi-même la première fois, mais je ne peux malheureusement pas.

Sans doute beaucoup d’autres hommes les serreront dans leur mains avant que je ne puisse te revoir…

Pense juste au nombre de fois où j’aurai le plaisir de les embrasser au cours des prochaines années

Lorsque tu les enlèveras, souffle dedans avant de les ranger afin de chasser l’humidité qui reste toujours après une journée d’utilisation.

N’oublie pas de les porter quand tu les laveras pour empêcher le rétrécissement. J’espère que tu vas les aimer et que tu les porteras lorsque tu rentreras de voyage.

Avec tout mon amour.
Ton chéri

P.S. : La dernière mode, c’est de les porter avec les rebords pliés en montrant un peu la fourrure. »

Un femme lit une lettre qui la met en colère
Le cadeau d’anniversaire

À mort les boches

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Un bistrot en zone occupée, en 1943. Le propriétaire a un perroquet qui crie tout le temps :
– À mort les Boches ! A mort, sales Boches !

Au début, les Allemands du coin s’amusent :
– Ach, das ist ein lustiger Papagai !

Mais à la fin cela les énerve et le feldwebel dit au gargotier :
– Si demain le perroquet recommence à nous traiter de sales Boches, tu seras fusillé avec lui !

Le cafetier prend son perroquet et va chez le curé, qui lui propose de faire un échange avec le sien, de la même espèce.

Le lendemain soir, les Allemands sont là et le perroquet reste silencieux. C’est comme cela tous les jours mais au bout de quelques semaines les Allemands regrettent les injures du perroquet. Ils commencent à lui parler et à lui demander de parler :
– Dis-nous encore à mort les Boches ! Papagai ! Sales Boches ! Sales Boches !

Finalement, le perroquet les regarde calmement et leur crie :
– Que Dieu vous entende, mes fils !