Le supplément pour viol

Une Ecossaise d’âge plus que mûr a pris pension dans un hôtel. La première nuit, elle appelle la réception :
– Allô, dit-elle, un jeune homme avec une lueur sauvage dans les yeux s’est introduit dans ma chambre par la fenêtre. Maintenant, il a l’intention de me violer.
– Et vous voulez qu’on le fasse sortir ?
– Ce n’est pas cela, dit l’Ecossaise. Je voudrais surtout être sûre que, si je le laisse faire, vous ne me compterez pour cela aucun supplément.

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