La pitié de l’empoisonneuse de mari

Une dame qui, après 30 ans de vie commune, a empoisonné son mari en mettant de l’arsenic dans son café est interrogée par le procureur lors de son procès :
« Mais enfin madame, lorsque vous avez commis votre crime, vous n’avez à aucun moment éprouvé une quelconque pitié pour votre mari ? »

L’accusée lui répond :
« En fait, si. Quand il m’a demandé de lui resservir une tasse. »

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