Perles des tribunaux

La justice torride

Les perles : la justice

Un expert qui parle de « substitut de pénis », un procureur qui renchérit à l’audience en employant le terme de « phallus artificiel » pour désigner une arme. La justice va finir par devenir torride !

Le bégaiement de l’accusé

Les perles : la justice

Dans une affaire d’escroquerie au jeu de boules jugée en 1963, un accusé bègue lance : « Je ne peux pas vous répondre, parce que le pro-cu-cu, le procureur, va en faire état dans son réqui-réquiqui-zizi, dans son réquisitoire… » Ce qui déclenche un fou rire général dans la salle. L’accusé a, sans le vouloir, gagné ce jour-là quelques années de prison.

Faire sauter une contravention

Les perles : la justice

Un jeune homme de Senlis, accusé d’avoir baissé son pantalon devant deux policières et de leur avoir tenu des propos obscènes, a été condamné à trois mois de prison ferme. Il n’a toujours pas compris le sens de l’expression « faire sauter un PV » !

Du pognon et du cul

Les perles : la justice

Si certains ont aimé manier la langue de bois et la roue libre lors du procès Festina, l’ancien coureur cycliste professionnel et témoin, Erwan Menthéour, ne mange pas de ce pain-là. « L’horizon des coureurs, c’est amphétamines, cul et pognon », lance- t-il devant le tribunal lillois, qui goûte chaque jour un peu plus sa verdeur cycliste.

Les putes des Girondins

Les perles : la justice

Au procès du club des Girondins de Bordeaux, on apprend que des prostituées étaient offertes aux arbitres par certains clubs, la nuit précédant le match, ce qui, bien évidemment, n’avait pas de conséquence sur l’issue du match ! Les jeunes femmes étaient payées jusqu’à 20.000 francs. À ce prix-là, on espère qu’elles savaient aussi faire la cuisine