Blagues tribunal

Les derniers outrages

C’est un monsieur qui est accusé de viol. Le juge d’instruction organise une confrontation et demande à la victime :
– Est-ce bien cet homme qui vous a fait subir les dernier outrages ?
– Parfaitement, je le reconnais.
– Très bien, veuillez dire à la cour quand cela s’est passé.
– Eh bien c’était il y a un mois, il y a quinze jours, la semaine dernière, et avant-hier !

J’ai tué ma femme avec un marteau

Le juge au prévenu :
– Le 25 juillet dernier, vous avez tué votre femme avec un marteau … Le reconnaissez-vous ?
– Oui, je l’avoue et j’ai fait croire qu’elle était partie en vacances !

Un homme dans la salle se lève et ne peut retenir ses cris :
– Enfoiré, salaud, fils de … !
– Silence ou je …
Le juge n’eut pas besoin de terminer sa phrase : l’homme s’est déjà calmé.

Le juge reprend l’interrogatoire :
– Le 9 septembre, vous avez tué votre belle-mère avec un marteau. Reconnaissez-vous les faits ?
– Oui, je l’avoue … avec un marteau.

A ce moment-là, la même scène se reproduit, avec le même homme :
– Enfoiré, salaud, fils de … !

Le juge ordonne son expulsion mais, par pure curiosité, il lui demanda :
– Puis-je savoir qui vous êtes pour vous exciter de la sorte ?
– Oui, Monsieur le juge … Je suis son voisin de pallier et, chaque fois que j’ai demandé à cet enfoiré de salaud de fils de … de me prêter un marteau, il a toujours prétendu ne pas en avoir !

Un homme tue sa femme avec un marteau
J’ai tué ma femme avec un marteau

Les pleurs du cannibale

– Vous n’avez rien ressenti, lorsque vous avez coupé votre femme en morceaux avant de la mettre à cuire ? demande le juge au condamné .
– Si, Si, à un moment je me suis mis à pleurer .
– Ah quand même! et à quel moment ?
– Quand j’ai coupé les oignons !.

La prostituée devant le juge

Une prostituée passe en jugement pour racolage. Le juge l’interroge :
– Votre nom ?
– Malivoine
– Votre prénom ?
– Martine.
– Age ?
– Trente-cinq ans.
– Profession ?
– Voyons, Gaston, dit-elle en éclatant de rire, c’est à ta petite Nounouche, la reine des guili-guili, que tu demandes ça ?

La blague de la vieille et du procureur

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Dans une sous-préfecture, le procureur de la République appelle son premier témoin à la barre. Il s’agit d’une très très vieille femme…
– Madame Claire Azil, me connaissez-vous ?
– Oui bien sûr que je vous connais Monsieur Martin : je vous ai connu alors que vous étiez tout bébé. Et franchement, vous m’avez déçu. Vous mentez, vous trompez votre femme, vous manipulez les gens, vous médisez et répandez des fausses rumeurs. Vous vous croyez influent et respecté alors que vous n’êtes qu’un sous-fifre. Ha, oui, ça, on peut dire que je vous connais bien !

L’avocat de la partie civile est estomaqué : la déposition de la vieille Claire Azil vient de le mettre KO debout… Ne sachant plus quoi faire, il pointe du doigt l’avocat de la défense et demande :
– Et l’avocat de la défense, Monsieur Durand, est-ce que vous le connaissez ?

Alors la vieille répond illico :
– Oui bien sûr, lui aussi je le connais depuis qu’il est tout petit. Je faisais la baby-sitter pour ses parents quand il était bébé, et lui aussi m’a beaucoup déçu. Il est fainéant, puritain, bigot même, alcoolique dit-on aussi. Il n’a aucun ami et il est réputé pour rater quasiment tous ses procès !

A ce stade de la déposition, le juge appelle les deux avocats auprès de lui. Il se penche et leur dit à l’oreille :
– Si jamais l’un d’entre vous demande à cette femme si elle me connaît, je le fais mettre en prison illico pour outrage à magistrat !