Blagues tribunal

Condamné pour un chèque sans provision

Un type passe au tribunal pour chèque sans provision. Pour se défendre, il précise :
– Mais je n’ai acheté que de l’apéritif sans alcool, un fromage sans matière grasse et du chocolat sans sucre, avec ce chèque sans provision !

Le juge répond :
– Bon, alors ce sera un mois sans sursis !

La pitié de l’empoisonneuse de mari

Une dame qui, après 30 ans de vie commune, a empoisonné son mari en mettant de l’arsenic dans son café est interrogée par le procureur lors de son procès :
« Mais enfin madame, lorsque vous avez commis votre crime, vous n’avez à aucun moment éprouvé une quelconque pitié pour votre mari ? »

L’accusée lui répond :
« En fait, si. Quand il m’a demandé de lui resservir une tasse. »

Tuer par amour…

Le président apostrophe l’accusé :
– Vous l’avez tuée. Qu’avez-vous à répondre ?
– Monsieur le Président, je l’aimais, je l’aimais à la folie.
– L’histoire est bien connue. Ce n’est pas une excuse. Je vous condamne à 20 ans !

Alors l’avocat se penche vers l’accusé et lui glisse :
– Rien à dire. Quand on aime, on a toujours 20 ans !

Le repris de justice témoin en retard

Un repris de justice est convoqué comme témoin…

Le juge :
« Vous êtes en retard. Quand on est convoqué à 10H00, il faut arriver à 10H00 ! »

Le témoin :
« Ben oui, mais je me suis perdu dans les couloirs du palais de justice, sinon, j’étais à l’heure. »

Le juge, ironique :
« Pourtant, si je me souviens bien, je vous ai déjà vu en d’autres circonstances dans cette salle… »

Le témoin :
« Oui, oui, vous avez raison. Mais cette fois là, j’étais arrivé par l’entrée des artistes… »

L’empoisonneuse de maris

C’est une femme qui passe aux Assises parce qu’elle a empoisonné son mari. Le procureur de la République tend vers elle un doigt accusateur et lui dit :
– Madame, votre acte était prémédité !
– Comment ? Quoi ?
– Vous avez fait exprès !
– C’est vite dit…
– Oui, c’était un crime prémédité ! D’ailleurs, dans la soupe de votre mari, il y avait quatre doses de poison. De quoi tuer quatre personnes normales !
– Mais c’est la faute de ce grand cochon, monsieur le procureur ! Qu’est-ce que vous voulez qu’ j’y fasse, il a toujours bouffé comme quatre !