blague violence
Protestations estudiantines
Après une nuit d’émeute, quelques étudiants ont été interpellés, sur le campus d’une université.
– Pourquoi, demande un des flics, chargés de la garde à vue, avez-vous lancé des cocktails Molotov dans la cafétéria, brisé toutes les vitres des salles de cours, démoli à la hache le grand amphithéâtre et brûlé une douzaine de voitures, stationnées sur le parking réservé aux professeurs ?
L’un des étudiants explique :
– Nous voulions protester contre la violence dont avait preuve à notre égard un de vos collègues. Il s’était permis de faire une remontrance à un étudiant qui avait coiffé le recteur d’un seau contenant du goudron à peine tiède.
Le truc infaillible pour endormir les bébés

Deux gars discutent :
– Tu sais, mon père avait un truc infaillible pour m’endormir quand j’étais bébé !
– Ah Ouais? C’était quoi ?
– Il me lançait en l’air et me rattrapait.
– Et ça marchait ?
– Oh oui ! A tous les coups ! Le plafond était assez bas à la maison !

Le petit arabe qui s’appelait Marcel

C’est un petit garçon arabe que ses copains embêtent à l’école, parce qu’il a des copains qui sont méchants; par exemple ils lui font :
– Comment tu t’appelles ?
– Je m’appelle Mohamed.
– On ne veut plus que tu t’appelles Mohamed, il faut que tu t’appelles Marcel.
Il leur répond :
– Oui, mais mes parents vont faire la gueule, si je m’appelle Marcel.
– Il faut que tu t’appelles Marcel !
Ils lui foutent des gifles, et tout, ils sont vraiment odieux. Le soir, Mohamed rentre chez ses parents et il leur dit :
– Papa, maman, je ne veux plus m’appeler Mohamed, je veux m’appeler Marcel.
Sa mère fait :
– Qu’est-ce que c’est que cette histoire-là ? Tu veux t’appeler Marcel ?
– Oui, je veux m’appeler Marcel.
Sa mère lui fout une claque.
Le père rentre du chantier, la mère fait :
– Viens voir, viens voir, tu ne sais pas la nouvelle, ton fils veut s’appeler Marcel, maintenant !
Le père fait :
– Quoi ?
Paf, il lui fout une claque.
Le lendemain, le môme revient à l’école, il e les deux yeux pochés et ses copains lui disent :
– Qu’est-ce qui t’arrive, Marcel ?
– Ah, m’en parlez pas, j’ai été attaqué par deux Arabes.