blague violence

Le type qui voulait savoir si la demoiselle baisait

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C’est un gars qui rentre dans un bar et qui aborde une fille :
– Excusez-moi mademoiselle, est-ce que tu baises ?

La fille se retourne, lui fout un énorme direct du droit dans la figure. Prend un verre sur le comptoir et lui écrase sur le crâne. Le gars tombe, elle lui donne des coups de pied dans les côtes, lui transperce les mains avec ses talons aiguilles et lui abat son tabouret dessus. Puis elle va tranquillement s’asseoir un peu plus loin.

Le gars se redresse péniblement après un quart d’heure, rampe vers elle, s’accroche au comptoir pour se redresser et lui dit difficilement :
– Ve fuppove que tu fufes pas non plus ?

Le camionneur, son petit singe et le précieux

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Un petit précieux se fait prendre en stop par un camionneur. À bord se trouve déjà un p’tit singe assis. Après plusieurs dizaines de kilomètres, le camionneur tapote sur le crâne du p’tit singe qui, instantanément mu par un réflexe Pavlovien, s’agenouille devant le camionneur et commence à lui faire une petite gâterie buccale.

Le petit précieux, intrigué, fait néanmoins celui qui n’a rien vu pour ne pas créer une sale ambiance.

Après d’autres plusieurs dizaines de kilomètres, même scénario : petit coup sur la tête du p’tit singe et hop, nouvelle gâterie… Le petit précieux ne bronche toujours pas (toujours pour ne pas foutre une sale ambiance..).

Enfin, au terme du voyage, le camionneur, décidément insatiable, sollicite de nouveau les services du p’tit singe. Au moment ou il s’exécute , le regard embarrassé du petit précieux croise le regard gourmand du camionneur zoophile. Celui ci lui dit alors :
– Ça vous intéresse ?
– Oui, oui, mais à condition que vous ne me tapiez pas trop fort sur la tête …

Protestations estudiantines

Après une nuit d’émeute, quelques étudiants ont été interpellés, sur le campus d’une université.
– Pourquoi, demande un des flics, chargés de la garde à vue, avez-vous lancé des cocktails Molotov dans la cafétéria, brisé toutes les vitres des salles de cours, démoli à la hache le grand amphithéâtre et brûlé une douzaine de voitures, stationnées sur le parking réservé aux professeurs ?

L’un des étudiants explique :
– Nous voulions protester contre la violence dont avait preuve à notre égard un de vos collègues. Il s’était permis de faire une remontrance à un étudiant qui avait coiffé le recteur d’un seau contenant du goudron à peine tiède.