blague URSS

Grâce au KGB

L’histoire se passe aux temps glorieux de l’URSS. Dans une épicerie de Varsovie, tout le monde fait la queue. Une dame demande à l’épicier :
– Avez-vous du sel ?
– Grâce à Dieu, oui !

La cliente suivante demande :
– Avez-vous des œufs ?
– Grâce à Dieu, oui !

Un membre du K.G.B. qui passait par là et qui a entendu toutes les conversations, interroge l’épicier :
– Pourquoi répétez-vous toujours : « Grâce à Dieu » ?
– Pour rien, excusez-moi.

Quelques instants plus tard, une cliente demande dans le magasin :
– Avez-vous du beurre ?
– Non, Madame. Il n’y en a plus… grâce au parti !

Rien ne change

Du temps de l’URSS, un Américain, un Français et un Russe se rencontrent au Salon de l’auto et chacun, tout naturellement, essaie d’impressionner ses interlocuteurs.
– Moi, pour aller à mon job, dit l’Américain, je prends la Chevrolet. Mais bien sûr, pour les vacances, j’ai le station-wagon Ford…
– Moi, en semaine, je prends ma 205, dit le Français. Pour les vacances, j’ai la Renault Espace…
– Moi, dit le Russe, j’ai ma Vaz.
– Et c’est tout ? demande l’Américain.
– Quand vous partez en vacances, vous prenez la Vaz ? renchérit le Français.
– Ça dépend, dit le Russe. Quand on reste en URSS, on prend la Vaz, oui…
– Et quand vous partez à l’étranger ?
– On prend le char.

Cauchemar éveillé

L’histoire se passe à la grande époque de l’URSS. Un homme s’est assoupi sur un banc de la place Rouge. Quand il se réveille, il voit planté devant lui un agent de la milice. Alors, il s’écrie :
– Camarade, je t’assure, c’est une erreur. Je te jure que je ne rêvais pas !

Les boulettes russes

L’histoire se passe à la grande époque de l’URSS. Brejnev reçoit à dîner l’ambassadeur de France. Au milieu du repas, le Français s’étonne :
– C’est curieux. Les trois premières boulettes de viande que j’ai mangées étaient délicieuses mais celle-ci, vraiment, je n’arrive pas à la couper !

Alors Brejnev se retourne vers le chef de la police et dit :
– Je vous avais pourtant dit « sans micro » ce soir.