blague quiproquo
Coronavirus marital

Hier, je me suis rendu à la poste. Juste à l’entrée, une jeune fille, un appareil en main, contrôlait la température des gens au cas où quelqu’un est atteint du covid19. La fille était vraiment petite de taille, environ 1m50 et moi 1m90.
Voulant être gentil et lui faciliter la tâche et lui permettre d’atteindre mon front , je me baisse et met un genou à terre. Les gens qui étaient là, en voyant la scène, avaient cru que je demandai sa main…
Alors, en chœur, ils se sont mis à applaudir et à crier, « Accepte ! Accepte ! Accepte ! ». Le pire, c’est quand la fille, les joues toutes rouge de honte, en joignant ses mains, a fini par dire « Oui, j’accepte ! ».
La guerre du bouton

Un gars rencontre un copain qui a les yeux au beurre noir.
– Nom de Dieu ! Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Tu t’es bagarré ?
– Non, dit l’autre, piteusement. C’est en recousant un bouton de braguette…
– Un bouton de braguette ? Comment ça ?
– Ben, oui… Tu sais que j’habite dans une petite pension de famille. L’autre jour, je m’aperçois que j’avais perdu un bouton de braguette. Je vais trouver la maîtresse de maison et je lui demande poliment si elle peut me le recoudre. Bien sûr, elle accepte et me dit que ce n’est pas la peine d’enlever mon pantalon, qu’elle va faire ça tout de suite. Elle va chercher une aiguille et du fil et elle me recoud ça en trois minutes. Et puis, quand elle a fini, elle fait un nœud avec son fil et elle se penche pour le couper avec ses dents. Et c’est juste à ce moment-là que son mari est entré…