blague quiproquo

La blague des toilettes du pasteur

Une famille anglaise passe ses vacances en Allemagne et découvre lors d’une promenade une charmante maisonnette. Décidés à la louer, ils signent un contrat de location avec le proprio qui n’est autre… qu’un pasteur protestant. A son retour en Angleterre, la mère ne se souvient pas d’avoir vu de toilette et décide d’écrire au pasteur à ce sujet :
« Cher pasteur, je suis votre future locataire et je n’ai pas vu de WC dans votre maison, pourriez-vous me donner des indications à ce sujet ? »

Le pasteur croyant que l’abréviation WC signifiait Wales Chapel (chapelle de Galles), il lui répondit ceci :
« Madame, j’accède volontiers à votre demande, et vous signale que ce lieu se trouve à 10 kilomètres de la maison… ce qui est gênant si l’on veut s’y rendre tous les jours.

Celui qui est habitué à y rester longtemps à intérêt à apporter de quoi manger, comme ça, il peut y rester toute la journée.

Il est important d’arriver à l’heure, d’une part pour ne pas déranger les autres, mais aussi pour trouver des places assises, ce qui n’est pas évident vu le monde qu’il y a !

L’ambiance y est chaude et joyeuse, les enfants et les grandes personnes chantent en coeur.

Tout ce qu’on y laisse est donné au pauvres.

A l’entrée, on vous donne une feuille qu’il faut déposer à la sortie afin qu’elle puissent être utilisée à nouveau.

Attention, ceux qui arrivent en retard doivent se servir de la feuille de leur voisin !

L’endroit est enfin sonorisé afin que les gens puissent entendre même en étant dehors .

Des journées portes ouvertes sont organisées pour que les non initiés puissent se rendre compte de ce que l’on y fait.

Vous trouverez enfin des photographes qui pourront vous prendre en photo dans cette attitude si humaine et si pieuse. »

Bientôt trois à la maison

La jeune femme à son mari qui vient de rentrer du travail :
– Chéri, j’ai une grande nouvelle pour toi : très bientôt nous serons 3 dans cette maison au lieu de 2 ! (Le mari est fou de joie et embrasse sa femme qui poursuit)… Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive demain matin.

EDF et le retard d’accouchement

Une parturiente enceinte jusqu’aux dents et ce depuis 13 mois dit à son chéri de mari, surtout ne parle pas de mon retard.

Pendant ce temps les services de l’EDF dépêche un gazier pour relancer le couple dont il est question, car la facture EDF n’est pas encore réglée. Le gazier sonne et madame répond :
– Madame je viens parce que vous avez un retard et maintenant il faut faire au plus vite.
– Ok comptez sur moi, je vais faire le nécessaire.

A l’heure du repas, le mari rentre et se fait engueuler par sa femme au sujet du retard de sa grossesse : Je t’avais dit de ne rien dire…

Chemin faisant le mari, en allant à son boulot, rencontre le gazier.
– Monsieur, comment savez-vous que ma femme à un retard ?
– C’est mon métier, et il faut faire le nécessaire très rapidement !
– Que faut-il que je fasse.
– Il faut l’acquitter.
– Mais je ne veux pas la quitter. Que va-t-il se passer si je ne la quitte pas.
– Si vous ne l’acquittez pas, je vous la coupe.
– Si vous me la coupez, comment va faire ma femme ?
– Elle fera comme les autres elle prendra une bougie !

Une perte irréparable

Ça se passe au bord la mer.

C’est deux gars qui sont de vrais jumeaux. Il y a Robert et Raymond Kulasec (les fils de Jean, bien sûr).

Robert s’est marié à Jeanine mais Raymond est resté célibataire. Le seul bien que possède Raymond en dehors de sa maison, c’est une vieille chaloupe… Un jour, la femme de Robert, Jeanine, meurt. Et le même jour, la chaloupe de Raymond coule !

Une vieille dame de leurs connaissances rencontre Raymond le lendemain. Mais elle confond Raymond et Robert. Elle dit à Raymond :
– Oh monsieur Kulasec… J’ai appris votre grande perte. Ça doit être terrible pour vous !

Raymond lui répond :
– Eh ben en fait oui. Je suis vraiment démuni maintenant. Enfin il faut quand même relativiser : Elle était pourrie dès le départ, elle avait l’arrière tout abîmé, elle sentait le poisson et jamais au grand jamais je n’ai connu une chose qui prenait l’eau aussi vite qu’elle. Il faut dire qu’elle avait une grosse fissure par devant et un grand trou à l’arrière. D’ailleurs, le trou devenait de plus en plus gros à chaque fois qu’on l’utilisait… En fait, ce qu’elle n’aura pas supporté, c’est que je la loue à quatre gars pour qu’ils prennent un peu de bon temps avec: Je leur avais pourtant dit d’y aller mollo, mais ces jeunes branleurs ont voulu monter à quatre en même temps. C’en était trop pour elle et elle a craqué en plein milieu.

Un homme scandalise une petite vieille en parlant de la perte de sa barque
Une perte irréparable