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Le paysan qui fait du diabète

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C’est un paysan qui va chez le docteur ; il ne se sent pas bien et il fait :
– Je ne sais pas ce qui m’arrive ; d’habitude, en me levant, je me sentais gaillard, et là, depuis quelque temps, je ne sais pas, je suis fatigué.
– Eh bien monsieur, je vais vous faire des analyses.

Alors le docteur lui fait quelques examens et lui dit :
– C’est simple, là, je crois que vous faites un petit peu de diabète.
– Qu’est-ce que ça veut dire, ça ?
– C’est-à-dire que probablement, cher monsieur, vous abusez un petit peu des bonnes choses, des choses nourrissantes… Tenez, regardez vos analyses, vous avez du sucre dans les urines.
– Du sucre dans les urines ?
– Oui, oui.
– Ah bah ça alors, salope de Germaine ! C’est donc par gourmandise !

Le gars de la campagne et la fille de Paris

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Dans un bar parisien, une superbe nana est abordée par un jeune gars d’la campagne fraîchement débarqué dans la capitale pour le salon de l’agriculture.

Le jeune gars qu’a pas froid aux yeux l’aborde comme ça :
– Eh dis donc, qu’est-ce que tu dirais si je te ramenais chez moi. T’es le genre de fille qui se plairait bien chez nous. Et pis tu sais, on pourrait passer du sacré bon temps ensemble !

La fille amusée lui répond :
– Je ne sais pas trop… D’où es tu exactement ?
– Je viens du Cantal, le pays où les hivers sont rudes et les hommes sont des vrais hommes.
– Oh, j’ai entendu parler de vous les gars du Cantal… il paraît que vous baisez avec des truies, des chèvres, des vaches, des poulets…

Le gars l’interrompt indigné :
– DES POULETS ?

Le Mathieu, le François et la Thérèse

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C’est le Mathieu sur son tracteur qui traverse le village. Il décide, avant de rentrer à la maison, de s’en jeter un au troquet, chez l’Emile.

En attendant qu’on lui serve son verre, il s’aperçoit qu’un type le regarde intensément avec un air amusé.

Mathieu lui demande pourquoi.
– Ben alors Mathieu tu ne me reconnais pas ?
– Ben, non !
– Je suis François.
– Françouet ? c’lui qu’y a épousé la Thérèse ?
– Mais oui !
– Vingt Dieux, l’Françouet, j’t’avions pas r’connu ! et qu’est que tu d’viens ? T’es habillé comme un ministre.
– Ah, mais je suis à Paris, là-bas on m’appelle FrançOIS, je suis dans les affaires, je travaille à la Bourse.
– Et c’est quoi ton travail à la bourse ?
– Oh, c’est très simple, je reste chez moi, je téléphone pour donner des ordres, puis je monte sur la terrasse, je contemple Paris, puis je donne d’autres ordres de bourse, puis souvent je remonte sur la terrasse, puis voilà quoi, je passe ma journée à ça.

Mathieu rentre chez lui et dit à sa Marie :
– Devine qui je viens de rencontrer ?
– ????
– L’Françouet !
– C’lui qu’y a épousé la Thérèse ?
– Oui, mais maintenant il s’appelle FrançOUA et la Thérèse, elle s’appelle Therrasse.

Lettre à un soldat

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Mon cher fils,

Je t’écris lentement car je sais que tu ne lis pas vite ; ainsi je mets la plume dans l’encre, l’encre sur le papier, le papier dans l’enveloppe et l’enveloppe dans la boîte à lettre, tout cela pour te dire qu’on a été tous malades mais que le docteur est venu et on est tous guéris.

Depuis que tu es parti, on s’aperçoit que tu n’es plus là ; hier c’était la fête au village, il y avait une course d’ânes et monsieur le Maire a dit que c’était dommage que tu n’étais pas là car tu aurais sûrement gagné ; il y avait aussi le marché aux cochons, on a pensé à toi.

Quand tu reviendras à la maison, tu ne la reconnaîtras pas, on a déménagé. Au fait Léon s’est pendu, j’espère qu’il ne recommencera plus. Tu m’as dit que tu faisais de la taule, s’il t’en reste garde-moi en pour couvrir le toit du poulailler.

Tu m’as dit de t’envoyer un champ d’ail, la récolte a été mauvaise, je t’enverrai un champ d’oignons. Le petit a avalé 100 sous, le docteur en a retiré 90 ; il a dit que le reste était dissout. Pour ce qui est du petit, tout le monde se moquait de lui à l’école car il n’avait pas d’habits neufs ; comme on a pas beaucoup de sous, on lui a acheté une casquette neuve et on ne le laisse plus regarder que par la fenêtre plus personne ne rigole.

Ton père a un nouveau travail, il a 200 personnes en dessous de lui, il tond le gazon au nouveau cimetière que nous avons inauguré; sur la porte était inscrit : « Ici ne seront enterrés que les morts vivant dans la commune ». Les peupliers bordant la rivière ont été coupés pour en faire du bois de sapin.

Tiens ton frère se marie avec une femme; tu dois te souvenir d’elle: c’est celle qui nous a tant fait rire à l’enterrement de ta soeur .

J’espère que tu es un bon soldat comme ton père qui s’est fait geler les pieds par des éclats d’obus. Je t’envoie 50 francs en cachette de ton père; il ira les poster.

Fais bien attention de ne pas te saouler et de ne pas dépenser cet argent. Je t’envoie aussi deux chemises neuves faites avec les vieilles de ton père. Envoie-moi les vieilles que j’en fasse des neuves à ta soeur. Si tu as des chaussettes trouées, envoies-moi les trous que je les raccommode.

Nous avons eu un grand malheur, le chien a eu la queue coupée. Enfin tout va bien sauf le chat qui est crevé. J’espère que la lettre te trouvera de même.

Tu nous dis que tu es très malade, si tu ne va pas mieux, reviens mourir à la maison, ça nous fera plaisir.

Je vais te laisser non sans te dire que ton père a un énorme furoncle au cul, sur quoi je t’embrasse très fort.

Ta Maman chérie

Post-scriptum : je voulais mettre 100 francs dans l’enveloppe mais j’avais déjà cacheté la lettre.