C’est l’histoire d’un chauffard qui arrive en trombe dans un village de campagne et pas de chance, une brave dame était en train de traverser la route, il fait un écart de volant pour l’éviter et écrase une poule.
Très embêté, le pov’gars va voir le paysan : – Je suis désolé, j’ai écrasé une de vos poules, pour éviter cette brave dame. Je vais vous rembourser… – Alors vous, les bêtises vous les accumulez : vous écrasez ma meilleure pondeuse pour éviter ma belle-mère…
Dans le Périgord, un touriste belge admire un champ de fraises et dit au paysan : – Elles sont vraiment belles vos fraises ! Qu’est-ce que vous mettez dessus ? – Bah ! Juste un peu de fumier… – Ah, c’est pas comme chez nous ! Nous en Belgique, on met du sucre…
Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une bonne heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène monta dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.
Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !
Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.
Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit : – Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !
En pleine cambrousse française (on va prendre au hasard… Le Cantal), un gars en voiture passe devant une ferme au moment où le coq a décidé de traverser.
Paf le coq, forcément.
Le conducteur, tout désolé, récupère le coq écrabouillé sur la route et va trouver le fermier pour « faire un geste ».
En trouvant le fermier dans la cour de ferme, il lui dit un peu nerveusement : – J’ai tué votre coq… Permettez-moi de le remplacer !
Et le paysan : – Allez-y… les poules sont là-bas derrière.