blague nécrologie

L’appel nécrologique

– Allô ! Monsieur le directeur du journal ?
– Oui, lui-même.
– Ici, monsieur Paul Martin. Dans votre rubrique nécrologique de ce matin, je viens de lire l’avis de mon décès…

Alors, le directeur du journal, quelque peu inquiet :
– Mais, monsieur Martin, d’où m’appelez-vous ?

La Pijot de la mort

Le pôv Mustafa décède et sa veuve décide de passer une annonce nécrologique dans le journal local. Elle les appelle :
– Bijour missiou, cili pour connaître li tarif d’oune annonce mortouaire.
– C’est un forfait de 50 euros avec une ligne + 10 euros la ligne supplémentaire…
– Oki oki… alors vous li mettez… « MUSTAFA IL EST MORT ».
– Et c’est tout ?
– Bin voui … vouli savez, me retrouve sans mari avé les zenfants à nourrir .. suis un peu démounie.
– Mais madame, je comprends … mais faudrait être plus précise, 1 ligne pour l’annonce … c’est un peu juste.
– Bin voui … mais 50 euros … c’est beaucoup et mon pôv mari m’a pas laissé beaucoup d’argent.

S’ensuit un moment de silence, puis le correspondant du journal, désemparé :
– Bon Madame, compte tenu de votre détresse je vous accorde une ligne supplémentaire… Que voulez-vous donc publier ?
– Oh merci missiou, vous êtes gentil. Alors vouli mettez : « MUSTAFA IL EST MORT, PIJOT 405 A VENDRE ».

La blennoragie du décès

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C’est l’histoire d’un vieux couple dont la femme subit le calvaire depuis plusieurs années, tant son époux est un salaud de la pire espèce.

Quand le mari exécrable vient finalement à mourir, la femme téléphone au journal local pour qu’on insère un faire-part nécrologique.

« Vous mettrez tout le baratin habituel », dit-elle au standardiste, puis elle ajoute, « Mais surtout, mettez bien qu’il est mort d’une blennorragie ! »

Le jour des obsèques arrive.

Une vieille amie vient s’informer :
« Dis-moi ma pauvre chérie, j’ai lu le faire-part nécrologique sur le journal… Ils ont dû se tromper ? On y dit que ton mari est mort d’une blennorragie… Tu m’avais pourtant dit qu’il soufrait d’une entérite suraiguë ces derniers temps »

La veuve répond :
« Effectivement, il est bien mort d’une diarrhée que les médecins n’ont pas pu guérir… Mais j’ai pensé que ce serait mieux que les gens se souviennent de lui comme d’un amant volage plutôt que de la grosse merde qu’il a toujours été. »

L’amateur de journaux cubains

Un Cubain entre dans un dépôt de presse. Il demande au buraliste les grands quotidiens, regarde les « unes », rend les journaux et sort du magasin.

Le buraliste, un peu estomaqué, le rattrape dans la rue et l’apostrophe :
– Eh quoi, ils ne vous plaisent pas, mes journaux ?
– Vous savez, tout ce qui m’intéresse, c’est la rubrique nécrologique.
– Mais ? Les rubriques nécrologiques, c’est à l’intérieur des journaux, pas à la une !
– Pas celle que j’attends, répond l’homme, pas celle que j’attend…