blague nécrologie

La mort de la belle-fille juive

Une dame juive, dont la belle-fille vient de mourir, téléphone à son journal local et demande à parler au responsable de la section nécrologie.
– J’aimerais passer une annonce…
– Très bien, madame, je vous écoute. Quel est le texte ?
– « Sarah Davidovich est morte. »
– C’est tout ? « Sarah Davidovich est morte. » ?
– Oui c’est tout..
– Mais vous avez le droit à quatre lignes pour votre annonce. C’est compris dans le tarif.
– D’accord. Alors inscrivez : « Sarah Davidovich est morte. Mon fils Samuel est libre. »

La petite annonce nécrologique

La journaliste en charge de la rubrique nécrologie d’un journal doit faire paraître une annonce. Craignant de ne plus disposer de l’espace nécessaire pour l’insérer dans l’édition du lendemain, elle fait partir l’annonce à l’imprimerie, avec l’annotation : « s’il y a de la place. »

Le lendemain, on pouvait lire dans le journal :
« … que Dieu ait pitié de lui et le reçoive dans son royaume avec les anges, s’il y a de la place. »

La mort de David Cohen

Une dame juive téléphone à son journal local et demande à parler au responsable de la section « Nécrologie » :

Le gars du journal lui répond :
– Que puis-je faire pour vous ?
– J’aimerai passer une annonce.
– Très bien Madame, je vous écoute, quel est le texte ?
– « David Cohen est mort ».
– Et c’est tout ? « David Cohen est mort » ?
– Oui, c’est tout.
– Mais vous avez droit à 4 lignes pour votre annonce. C’est compris dans le prix.
– D’accord. Alors mettez : « David Cohen est mort…Mercedes 300 SL à vendre ».