blague marseillais

Est-ce que tu aimes les femmes moches ?

Dominique retrouve son voisin Marius sur le terrain de boules.
– Hé dis-moi Marius, tu aimes les femmes qui ont le ventre plein de bourrelets ?
– Wah l’autre hé, bien sûr que non !
– Et est-ce que tu aimes les femmes avec les seins pendants jusqu’aux genoux ?
– Non plus !
– Et les femmes avec une culotte de cheval, tu aimes ?
– Oh peuchère non !
– Alors dis-moi Marius, pourquoi est-ce que tu vas baiser ma femme pendant que je suis au travail ?

La blague des avions marseillais

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Trois petits marseillais, tous fils de pilotes de ligne, vantent l’avion de Papa.

Le premier :
– Ben l’avion de mon papa, il est tellement grand qu’on peut y mettre tous les joueurs de l’OM avec leurs supporters, et il reste encore assez de place pour l’autre équipe ! – Peuh !, fait le second, il est minuscule l’avion de ton papa. L’autre jour, le mien, il transportait l’équipe de l’OM, celle du PSG, les arbitres, la télé, et tous les supporters, pour aller jouer le match à Nouillorque, vu que le Parc des Princes était trop petit. En arrivant à l’aéroport, pof ! Pas de bol, une grève des contrôleurs aériens. Et tu sais ce qu’ils ont fait ? Hé ben, ils ont joué le match dans l’avion !

– Beuah ! Rikiki l’avion, fait le troisième. L’aut’ jour, mon papa, aux commandes, il entend un bruit bizarre, comme un bourdonnement. Il dit au copilote : « Prends la Twingo et va voir si ça vient pas de chez le radio. » Le copilote s’exécute. Une heure passe, deux heures, trois heures… 8 heures plus tard, le copilote revient :
– J’ai rien trouvé. Qu’est-ce que je fais ?
– Tu prends la 309, et tu vas voir si ça vient pas des moteurs.
Un jour passe, deux jours, trois jours, une semaine, et le copilote revient finalement, tout aussi bredouille.
– Prends la Safrane, et va voir à l’arrière.
Une semaine, deux semaines, un mois, deux mois passent avant que le copilote revienne.
– Ça y est, j’ai trouvé !
– C’était quoi ?
– Ben y’a un couillon qu’avait oublié de fermer le hublot des toilettes, alors y’a un 767 qu’est rentré par là, et il tournait autour du plafonnier en faisant « Bzzz… bzzz… ».

Les écoliers marseillais

Ça se passe à Marseille dans une école. C’est un petit garçon qui est amoureux de la soeur de son copain. Ça arrive à tous les adolescents, ça, de tomber amoureux de la soeur d’un copain. Et alors, il lui dit :
– Oh, oh, si je te donne 20 euros, fan de chichoune ! Tu me donnes une mèche de cheveux de ta sœur ?

L’autre :
– Et putaing ! Si tu me donnes 20 euros, je te la scalpe !

Le saut à la perche

C ‘est trois sportifs dans un vestiaire. Il y a un Anglais, un Allemand et un Marseillais. Ils se vantent, parce que les sportifs, ça se vante, ça raconte ses performances et tout ça.

L’Anglais dit :
– Moi, avec une perche de trois mètres, je saute une barre qui fait huit mètres de haut. Et l’Allemand dit :
– Moi, avec une perche de deux mètres, je saute une barre de dix mètres.

Et le Marseillais dit :
– Moi avec ma perche de vingt centimètres, eh con, je saute ma voisine qui fait un mètre quatre-vingts.