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La blague des femmes frigides marseillaises

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Trois marseillais discutent en buvant leur pastis sur la terrasse du « café des cigales ». Le sujet de discussion est le pouvoir calorigène de leurs épouses respectives…
– Moi ma femme, elle est frigide à un point, c’est incroyable…. D’ailleurs c’est simple, quand je vais la rejoindre dans le lit et que je la touche, je suis obligé de mettre des gants pour ne pas attraper d’engelures !

Le deuxième ne veut pas rester en reste :
– Oh la mienne, elle est encore plus froide que ça. La preuve, elle emmène toujours sa bouillotte dans le lit, et le matin au réveil, l’eau de la bouillotte a gelé !

Du coup le troisième est décidé à les achever :
– Ben je crois que de nos trois femmes, c’est la mienne la plus frigide : quand je vais la rejoindre le soir dans le lit et qu’elle écarte les jambes, le thermostat se déclenche et le chauffage central se met en route.

Les Marseillais à New York

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C’est Dédé (prononcer Deideu) et Tony de l’Estaque, ils ont gagné un voyage en paquebot jusqu’à New York.

À la fin de la traversée le brouillard se lève sur Manhattan et ils voient la statue de Liberté.  Dédé s’exclame :
– Oh putain Tony, c’est la femme à qui, elle, elle est bien grande !

Tony répond :
– Putain, je sais pas moi, t’as qu’à demander !

Dédé va voir un ricain sur le pont et lui demande :
– Oh monsieur s’te plaît, ooohh, de qui c’est la femme, elle ?

L’homme interloqué répond :
– What ?

Et Dédé s’en va, satisfait, dire à Tony :
– C’est la femme à Ouatt, putain, comme y doit être grand, ce mec !

Sur la terre ferme, les deux collègues vont à l’hôtel puis sortent pour aller au bistrot. Ils passent devant un Mac Do géant avec une enseigne monstrueuse en néon représentant un hamburger. Dédé s’arrête :
– Oh putain Tony, c’est le sandwich à qui, ça, il est bien grand !

Tony répond :
– Putain, je sais pas moi, t’as qu’à demander !

Dédé avise un mec et lui demande :
– Oh monsieur, s’te plaît, oooh, de qui c’est le sandwich, là ?

L’homme sur la défensive répond :
– What ?

Et Dédé revient vers Tony et lui dit :
– Putain, j’aurais dû le savoir, eh, c’est le sandwich à Ouatt. Putain y doit vraiment être monstrueux ce mec !

A leur retour du bar ils passent devant l’échoppe d’un cordonnier qui a tout investit dans son enseigne, une monstre-grosse chaussure en néon.  Dédé lève les yeux et s’écrie :
– Oh putain Tony, c’est le nébu à qui, ça, il est bien grand !

Tony répond :
– Putain, je sais pas moi, t’as qu’à demander !

Un mec est encore dans la rue à cette heure tardive et se fait aborder par Dédé qui lui demande :
– Oh monsieur, s’te plaît, oooh, de qui c’est la chaussure, là ?

Réponse de l’homme inquiet :
– What ?

Dédé se tape sur le front en expliquant à Tony :
– Putain, c’est sûr, enculé de moi, c’est la chaussure à Ouatt. Y chausse du mille ce mec !

Les estaquiens rentrent ensuite sans autre événement à leur hôtel et passent une bonne nuit. Le lendemain matin ils sortent se balader et en passant un coin de rue, ils tombent sur une procession énorme derrière un corbillard, plusieurs milliers de personnes au moins. Dédé s’affole :
– Oh putain Tony, qui c’est qui le mort là, putain y a bien du monde !

Tony répond :
– Putain, je sais pas moi, t’as qu’à demander !

Dédé avise quelqu’un dans la foule et lui demande :
– Oh monsieur, s’te plaît, oooh, qui c’est qui est mort là ?

Réponse affolée :
– What ?

Et là, Dédé, il explose :
– Putain tu me prends pour qui, pédé que tu es, même pas une couille de Ouatt elle pourrait rentrer là-dedans !

Tout est gigantesque à New-York, même les habitants
Dédé et Tony à New York