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L’héroïsme du soldat russe d’Afghanistan

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En 1989, les troupes russes quittent l’Afghanistan. Tous les soldats sont fous de joie de rentrer chez eux, sauf un : le deuxième classe Ivan Popov, qui se porte volontaire pour rester à Kaboul.
– Voilà un véritable héros du peuple ! s’exclame son général. Convoquez-le dans mon bureau.

Cinq minutes plus tard, le soldat Popov est au garde à vous devant son général.
– Alors tu es volontaire pour rester en Afghanistan ? demande ce dernier.
– Da, Camarade général.
– Tu veux lutter contre l’impérialisme américain et soutenir le combat révolutionnaire de nos frères afghans ?
– Euh… Da Camarade général.
– Bravo ! Tu seras décoré ! Ça fera plaisir aux gens de ton village !… Au fait, d’où es-tu originaire, Popov ?
– De Tchernobyl, Camarade Général.

Le cassoulet du père Eugène

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Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une bonne heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène monta dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.

Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !

Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.

Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
– Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !