Dans un bar gay, deux homosexuels discutent devant un Alexandra : l’un des deux essaie de convaincre l’autre qu’il est enceint…
– Si je t’assure, je prends du ventre sans manger plus… Je suis sûr que j’attends un bébé !
L’autre lui répond :
– Ha ha ha ! Alors, si tu attends un bébé, qui est le père ?
Et le premier :
– Et comment je le saurais ? J’ai pas d’yeux derrière la tête !
Depuis que sa femme vient de dépasser les huit mois de grossesse, ce pauvre mari se trouve condamné à dormir sur le canapé. Ce soir, alors qu’il s’apprête une fois de plus à passer une mauvaise nuit, sa femme le regarde d’un air compatissant. Elle comprend qu’il n’est qu’un homme, et qu’il a des besoins qu’elle n’a plus la possibilité de satisfaire.
Aussi, dans un élan de bonté, elle va chercher un billet de 50 euros dans son portefeuille et le donne à son époux :
– Mon pauvre chéri, lui dit-elle, à cause de moi, tu dors mal et en plus, je ne peux plus t’offrir ce qui te fait tant plaisir. Tiens, prends cet argent et va voir la voisine. Elle sera d’accord pour coucher avec toi… Souviens-toi simplement que ça sera la seule et unique fois, d’accord ?! Je fais ça pour toi, uniquement parce que je t’aime !
Le mari n’en croit pas ses oreilles. Il prend vite l’argent de peur que son épouse ne change d’avis et s’en va chez la voisine. Quelques minutes plus tard, il est déjà de retour, le visage empreint de déception. Il tend les billets à sa femme et explique :
– Elle a dit que ce n’était pas assez. Elle veut 100 euros…
A ce moment là, son épouse se met en colère :
– Ha la garce !… Quand elle était enceinte et que son mec est venu ici, je ne lui ai demandé que 50…
L’institutrice fait aux tout petits une leçon sur le partage. Au beau milieu du cours, elle insiste sur le fait que personne ne peut avoir exactement « tout ce dont il a besoin » et que c’est pour ça qu’il est bien de partager.
A ce moment là, Toto lève la main et fait tout pour que la maîtresse lui donne la parole.
– Madame, madame, c’est pas vrai !
– Qu’est-ce qui n’est pas vrai Toto ?
– Eh bien, chez nous, on a plus besoin de rien depuis une semaine !
– Allons Toto, comment peux-tu dire ça, tu sais bien que c’est impossible !
– Si madame ! C’est mon papa qui l’a dit l’autre jour !
– Répète-moi ce qu’il a dit exactement, s’informe la maîtresse.
– Eh bien, l’autre jour, ma grande soeur qui a quinze ans est rentrée à la maison avec son nouveau petit ami, un skinhead, et elle a dit qu’elle était enceinte de lui. Et c’est là que mon papa il a dit : « Eh ben, il ne nous manquait plus que ça ! »
C’est une conversation entre une serviette hygiénique, un tampon et un préservatif dans un supermarché. La serviette hygiénique dit aux deux autres :
– Moi je suis souple, légère, j’assure la protection contre les fuites pour la femme et cette semaine je suis en mission spéciale !
C’est alors que le tampon s’exclame :
– Pfff, moi je suis discret, j’aime être en la femme pour épouser la forme de son corps, je suis utile, moi aussi j’assure contre les fuites mais encore plus absorbant que toi, j’ai un prix fixe toujours moins cher que toi, et on peut me porter n’importe où sans me faire voir !
Alors là le préservatif, fou de rire, se roulant par terre depuis le début de la discussion réplique :
– Pffff, moi je vaux mieux que vous deux réunis, parce que quand je pète, vous êtes oubliés pendant neuf mois !
