blague féminicide

La blague de la drague en maison de retraite

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Lucie et Germaine sont deux vieilles qui vivent dans une résidence pour personnes âgées. Elles sont veuves toutes les deux mais Germaine aimerait tellement retrouver l’âme soeur… Un jour, la rumeur d’un nouvel arrivant de sexe masculin vient à leurs oreilles. Comme la rumeur dit aussi que le vieux monsieur est encore très bien conservé et qu’il a de bonnes manières, nos deux vieilles sont toutes excitées et décident d’en savoir un peu plus !

Germaine dit :
– Lucie, tu sais combien je suis timide. Tu ne voudrais pas aller discuter un peu avec lui pour connaître ses intentions ?
Lucie qui n’a peur de rien est tout à fait d’accord.

Aussi, au repas suivant, elle se place à la table du nouvel arrivant et essaie de lui tirer les vers du nez :
– Alors comme ça, vous êtes nouveau ici ? Mon amie Germaine et moi, nous nous demandions pourquoi un homme si bien de sa personne comme vous, et si jeune, venait dans une résidence comme la notre sans compagnie…

L’homme répond:
– C’est que je sors de prison… J’y ai passé 20 ans !
– Non, c’est pas vrai ? Vous plaisantez ? Et pour quelle raison ?
– J’ai tué ma troisième femme. Je l’ai étranglée…
– Et qu’est-il arrivé à votre deuxième femme ?
– Je l’ai tuée aussi. Avec mon revolver.
– Heu, et votre première femme alors ?
– Elle est tombée par le balcon de l’immeuble où l’on habitait au cours d’une dispute.

Alors Lucie se tourne sur sa chaise, et regardant Germaine à la table d’à côté elle cache sa bouche avec sa main et chuchote très fort :
– Tout va bien Germaine, il est veuf !

J’ai tué ma femme avec un marteau

Le juge au prévenu :
– Le 25 juillet dernier, vous avez tué votre femme avec un marteau … Le reconnaissez-vous ?
– Oui, je l’avoue et j’ai fait croire qu’elle était partie en vacances !

Un homme dans la salle se lève et ne peut retenir ses cris :
– Enfoiré, salaud, fils de … !
– Silence ou je …
Le juge n’eut pas besoin de terminer sa phrase : l’homme s’est déjà calmé.

Le juge reprend l’interrogatoire :
– Le 9 septembre, vous avez tué votre belle-mère avec un marteau. Reconnaissez-vous les faits ?
– Oui, je l’avoue … avec un marteau.

A ce moment-là, la même scène se reproduit, avec le même homme :
– Enfoiré, salaud, fils de … !

Le juge ordonne son expulsion mais, par pure curiosité, il lui demanda :
– Puis-je savoir qui vous êtes pour vous exciter de la sorte ?
– Oui, Monsieur le juge … Je suis son voisin de pallier et, chaque fois que j’ai demandé à cet enfoiré de salaud de fils de … de me prêter un marteau, il a toujours prétendu ne pas en avoir !

Un homme tue sa femme avec un marteau
J’ai tué ma femme avec un marteau

Les pleurs du cannibale

– Vous n’avez rien ressenti, lorsque vous avez coupé votre femme en morceaux avant de la mettre à cuire ? demande le juge au condamné .
– Si, Si, à un moment je me suis mis à pleurer .
– Ah quand même! et à quel moment ?
– Quand j’ai coupé les oignons !.