blague éditeur

La mauvaise nouvelle de l’éditeur

Un éditeur s’adresse à un écrivain :
– J’ai un bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
– Dites-moi d’abord la bonne, demande l’écrivain.
– Paramount a adoré votre livre et l’a littéralement dévoré.
– C’est fantastique ! Après une aussi bonne nouvelle, je suis prêt à encaisser n’importe quoi. Allez-y, quelle est la mauvaise nouvelle ?
– Paramount, c’est mon chien.

La fouille du porno

Les perles : Le porno

« L’éditeur parisien inaugure une nouvelle série de productions maison plus ‘fouillées’ que celles auxquelles il nous avait habitués. »

(Extrême, janvier 1998)

Le titre du roman porno

Un éditeur et un auteur cherchent quel texte croustillant ils pourraient mettre sur la bande d’un roman pornographique, particulièrement gratiné. Après une heure de recherches infructueuses, l’éditeur suggère :
– Et pourquoi pas, tout simplement : « BANDE » ?

Le manuscrit en retour

Un éditeur retourne un manuscrit qui lui a été soumis en précisant à son auteur :
« Etant donné que vous employez un mot pour un autre sans avoir la moindre idée de ce qu’ils signifient, je ne vous dirai pas que votre roman est exécrable et nullissime : vous risqueriez de prendre cela pour un compliment. Peut-être me ferai-je mieux comprendre avec un langage mieux adapté au vocabulaire restreint dont vous disposez : BEURK ! »

Le style ordurier c’est sordide

Un éditeur dit au jeune écrivain qui lui a soumis sa première œuvre.
– Votre roman est écrit dans un style ordurier qui fait encore ressortir le côté sordide de l’histoire. Je pense qu’il a les meilleurs atouts pour atteindre les cent mille. Cher auteur, voici votre contrat.