Le manuscrit en retour

Un éditeur retourne un manuscrit qui lui a été soumis en précisant à son auteur :
« Etant donné que vous employez un mot pour un autre sans avoir la moindre idée de ce qu’ils signifient, je ne vous dirai pas que votre roman est exécrable et nullissime : vous risqueriez de prendre cela pour un compliment. Peut-être me ferai-je mieux comprendre avec un langage mieux adapté au vocabulaire restreint dont vous disposez : BEURK ! »

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