blague dortoir

Le don du bâilleur

Un fabricant d’avions devenu multimillionnaire se rend dans son ancien lycée où il retrouve un de ses professeurs :
– J’aimerais, dit-il, faire un don à cet établissement, sous réserve que celui-ci fixe une plaque en mon honneur.
– Si je me souviens bien de vos bâillements incessants, quand vous suiviez mes cours, dit le prof, je suis prêt à proposer qu’on donne votre nom au dortoir.

Combat d’oreillers

Les perles : la justice

Après dix ans de procédure, elle estime que l’État est responsable des conséquences d’une rixe à l’oreiller commencée dans le dortoir du pensionnat Sainte-Marie, à Bourges. Un élève avait été blessé par une lampe-torche dissimulée à l’intérieur. Désormais, l’État ne pourra plus dormir sur ses deux oreillers !

Le chauffage dans les institutions religieuses

Dans une institution religieuse, le règlement intérieur prévoyait que le chauffage ne devait pas être allumé avant une certaine date. La chose était quelquefois difficile à vivre, surtout pour les pensionnaires, la nuit, dans les dortoirs humides et peu isolés de ces vieux bâtiments.

Une certaine année, l’hiver fut vraiment très en avance. Aussi bien les jeunes filles internes que les jeunes garçons réclamèrent que le chauffage soit au moins allumé la nuit. Mais la direction resta insensible à leurs arguments.

Après plusieurs nuits frigorifiantes, les jeunes filles se rendirent compte qu’elles disposaient d’un argument de poids face à cette direction intransigeante : en effet, leur dortoir étant situé dans le bâtiment faisant face à celui des garçons, elle étendirent un drap à une de leurs fenêtres sur lequel il était écrit :
« ALLUMEZ LE CHAUFFAGE SINON ON ALLUME LES GARÇONS ! »

Le dortoir des filles

C’est le jour de la rentrée à l’internat du Lycée mixte André Malraux. Le directeur de l’établissement, puis le principal, y vont de leur speech d’accueil, et surtout de leurs recommandations :

« Le dortoir des filles est DEFENDU pour tous les garçons, et de la même manière, le dortoir des garçons est DEFENDU pour les filles. Quiconque sera surpris en train d’enfreindre cette règle pour la première fois devra payer une amende de 20 euros. A la deuxième infraction, l’amende est de 40 euros et la troisième fois, l’amende sera de 100 euros. Y A-T-IL DES QUESTIONS ? »

Et à ce moment-là, un jeune homme s’avance et demande timidement :
« C’est combien si on veut un laissez-passer pour l’année ? »