blague communisme

La blague des bienfaits du goulag

Du temps de la guerre froide, Marchais reçoit un coup de fil :
– Camarade Marchais, ici le camarade Brejnev. Je suis à Paris pour la journée; puis-je vous rendre visite ?
– Bien sûr camarade Brejnev, c’est un grand honneur.

Il raccroche, et son perroquet se met aussitôt à entonner une litanie : « A mort Brejnev » et il n’arrête pas. On sonne a la porte et le perroquet n’arrête toujours pas. Alors Marchais le cache dans le premier endroit insonorisé qui lui vient à l’esprit : le congélateur.

Brejnev entre et Marchais lui propose une vodka.
– Bonne vodka, camarade Marchais. Mais nous autres soviétiques la buvons plus fraîche. Ne bougez pas, je vais chercher de la glace.
– NON !

Trop tard, Brejnev a ouvert le congélateur et se retrouve nez à nez avec un perroquet grelottant. Il le prend dans ses bras et le caresse en disant « pauvre petite bête ». Marchais est bien ennuyé et doit lui expliquer toute l’histoire. A ce moment-là, le perroquet se met à crier : « Vive Brejnev ».

Et Brejnev de dire :
« Tu vois camarade Marchais, le goulag, ça a du bon… »

La blague des questions communistes

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Dans la petite ville d’un petit pays de l’est, on discutait tous les mercredi de problèmes fondamentaux. De l’avenir de l’humanité et du communisme en général, de la ville en particulier.

A la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit :
– Camarades, y a-t-il des questions ?

Une main se lève.
– Je t’écoute, Camarade Popov, dit le camarade Président.
– Camarade Président, j’ai deux questions. Pourquoi les automobiles sont-elles si chères, et pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre ?
– Camarade Popov, tes deux questions sont fondamentales, le comité va y réfléchir, et t’apportera une réponse mercredi prochain

Le mercredi suivant, on discute de problèmes fondamentaux. De l’avenir de l’humanité et du communisme en général, de la ville en particulier.
A la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit :
– Camarades, y a-t-il des questions ?

Une main se lève.
– Je t’écoute, Camarade Souslov, dit le camarade Président.
– Camarade Président, j’ai trois questions. Pourquoi les automobiles sont-elles si chères, pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre, et où est passé le camarade Popov ?

La blague de l’invasion chinoise

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En Pologne, bien avant la Perestroïka et toutes ces sortes de choses, un pécheur sort un gigantesque poisson d’une rivière. Il se dit :
– Si je me fais contrôler, on va croire que je l’ai acheté à l’étranger, ce poisson. Il n’y a rien d’aussi bien nourri en Pologne.

Il le reflanque à l’eau et, pouf, le poisson se transforme en bon génie, qui lui propose 3 voeux (comme d’habitude). Le Polonais réfléchit et dit :
– Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.

Ce qui fut dit fut fait : cent millions de soldats chinois viennent, pillent, détruisent tout et s’en vont.

Le Génie :
– Quel est ton deuxième voeu ?

Le Polonais :
– Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.

Le Génie :
– Ah ? Bon…

Les Chinois reviennent, détruisent encore en plus la Pologne et repartent.

Le Génie :
– Quel est ton troisième et dernier voeu ?

Le Polonais :
– Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.

Le Génie :
– ???

Bon, les Chinois reviennent et, lorsqu’ils repartent, ils ne restent plus rien en Pologne, même plus de ruines : il n’y a plus une pierre posée sur une autre.

Le Génie :
– Dis-moi, pourquoi as-tu voulu que les Chinois attaquent 3 fois la Pologne ?

Le Polonais :
– Parce qu’ils sont passés 6 fois par l’URSS.