blague communisme

La blague du dragueur

Un monsieur rouge de colère sonne à la porte d’un dragueur impénitent.
– Bonjour, monsieur.
– Bonjour…
– Vous étiez bien à Saint-Tropez en juillet ?
– Euh… Oui.
– Le 15 juillet, précisément ?
– Oui, je crois.
– À l’hôtel des Flots bleus ?
– Oui.
– Chambre 26 ?
– Oui ?
– Avec une certaine Emmanuelle Martin ?
– Euh… Je crois bie Alphonse Allais n, oui.
– Eh bien je suis son mari et je ne suis pas content du tout, monsieur.

Le dragueur sort alors de sa poche un petit carnet.
– Attendez… Émilie… Émilienne… Ah ! Voilà : Emmanuelle Martin. Eh bien moi non plus je n’en suis pas content, monsieur.

Enseignement communiste

Au temps de la glorieuse URSS, un instituteur soviétique interroge ses élèves :
– S’il éclatait une guerre entre les socialistes et les impérialistes, dans quel camp combattriez-vous ?
– Dans le camp socialiste, répond Igor.

Le maître d’école savoure les résultats de son enseignement qui paraît avoir été parfaitement assimilé. Mais il poursuit ses investigations :
– Et peux-tu me dire pourquoi tu choisis le côté socialiste ?
– Oui, camarade professeur. C’est parce que j’aime mieux être fait prisonnier par les autres.

Les boucheries communistes

Avant la révolution, dans les boucheries russes, sur l’enseigne, il y avait écrit : « Igor Vassilievitch » ou « Fédor Boukrine », et à l’intérieur il y avait de la viande.

Avec le communisme, sur les enseignes de boucherie, on pouvait lire « Viande » et à l’intérieur, il y avait Igor Vassilievitch ou Fédor Boukrine.

Capitalisme vs communisme

À l’époque de l’URSS, un journaliste soviétique revient d’un voyage en Europe. À son retour en Russie, tout le monde le questionne :
– Alors comment est-ce qu’ils vivent, là-bas ?
– Mal, très mal.
– Mais comment ça ?
– Eh bien oui. Là-bas, les magasins d’alimentation sont remplis de marchandises. Les boucheries, les boulangeries, les crémeries ! Et même les magasins de vêtements sont archipleins. Eh bien, vous me croirez si vous voulez, mais il n’y a jamais personne dans ces magasins, il n’y a jamais la queue nulle part. Ces gens-là, ils n’ont pas d’argent !

La perestroïka du KGB

Conscient des nécessités de la perestroïka, le KGB avait organisé un grand concours en Union soviétique sur le thème : « Racontez la meilleure histoire drôle sur le communisme. ».

Récompense du concours : trente ans de travaux forcés en Sibérie.