blague cocu

Une augmentation sexuellement acceptée

Un employé de bureau, qui s’était violemment pincé le doigt en manœuvrant la photocopieuse, avait été autorisé, par son chef de service, à regagner son domicile, en plein milieu de l’après-midi. Voulant en faire la surprise à sa femme, il tourne doucement sa clé dans la serrure et traverse à pas de loup l’appartement désert. Enfin, il arrive à la chambre à coucher. Il ouvre la porte et voit son épouse faisant une partie de jambes en l’air avec son propre directeur.
– Mais alors, patron, balbutie-t-il, épanoui, est-ce que cela signifie que vous avez décidé de répondre favorablement à ma demande d’augmentation ?

L’absence de la femme infidèle

Une femme a déserté le domicile conjugal. Trois ans après, abandonné par son amant, elle manifeste le désir de retrouver sa place au foyer. Des amis communs s’entremettent et arrivent à convaincre le mari délaissé d’ouvrir grands ses bras à l’infidèle.
– Surtout, recommandent-ils à la femme volage, quand tu le reverras, n’aie pas l’air coupable. Sois naturelle.
– Faites-moi confiance, répond-elle.

Effectivement, elle arrive, très décontractée, fait une grosse bise à son mari et après avoir jeté un coup d’œil à sa montre, lui dit :
– Je suis un peu en retard, mon Biquet. J’espère que tu ne t’es pas inquiété. Ce lambin de coiffeur n’en finissait pas de terminer ma décoloration.

Le sexe du coiffeur

Une jeune femme annonce à son mari :
– Je vais au coiffeur.

D’un air supérieur, il lui explique :
– Vois-tu, ma chérie, on emploie cette expression quand on va se faire monter. Par exemple, un paysan dit : « Ma vache va au taureau. » Une femme qui part pour se faire faire une permanente dit : « Je vais chez le coiffeur ».
– C’est bien, possible, mais, moi, je vais au coiffeur.

La condamnation du fou

Le fou du roi égaie la cour, le roi et les ministres. Un beau jour, il fait une blague sur l’amant de la reine.

Le roi, outré, le condamne à mort. Les ministres supplient le roi d’être clément, car ce fou les a fait rire depuis 30 ans et a rendu leur vie agréable. Le roi décide :
« Je ne peux revenir sur ma décision. Ce fou a dépassé les bornes. Il reste condamné à mort. Tout ce que je peux concéder, c’est de laisser au fou le choix de la façon dont il mourra. »

Le fou, joyeux, réplique :
« Si votre majesté n’y voit pas d’objection, je voudrais mourir… de vieillesse. »