1er jour : Les Russes font 50 000 prisonniers chinois. 2ème jour : Les Russes font 100 000 prisonniers. 3ème jour : Les Russes font 500 000 prisonniers. 4ème jour : Les Russes font 1 000 000 de prisonniers. 5ème jour : Le QG Chinois appelle le Kremlin : « Alors, vous capitulez ? »
En Pologne, bien avant la Perestroïka et toutes ces sortes de choses, un pécheur sort un gigantesque poisson d’une rivière. Il se dit : – Si je me fais contrôler, on va croire que je l’ai acheté à l’étranger, ce poisson. Il n’y a rien d’aussi bien nourri en Pologne.
Il le reflanque à l’eau et, pouf, le poisson se transforme en bon génie, qui lui propose 3 voeux (comme d’habitude). Le Polonais réfléchit et dit : – Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Ce qui fut dit fut fait : cent millions de soldats chinois viennent, pillent, détruisent tout et s’en vont.
Le Génie : – Quel est ton deuxième voeu ?
Le Polonais : – Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : – Ah ? Bon…
Les Chinois reviennent, détruisent encore en plus la Pologne et repartent.
Le Génie : – Quel est ton troisième et dernier voeu ?
Le Polonais : – Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : – ???
Bon, les Chinois reviennent et, lorsqu’ils repartent, ils ne restent plus rien en Pologne, même plus de ruines : il n’y a plus une pierre posée sur une autre.
Le Génie : – Dis-moi, pourquoi as-tu voulu que les Chinois attaquent 3 fois la Pologne ?
Le Polonais : – Parce qu’ils sont passés 6 fois par l’URSS.
Deux industriels rivaux se rencontrent, dans un cocktail. – Avec qui, demande le premier, envisagez-vous de traiter prochainement pour vendre votre camelote ? – Les Chinois. – Les Chinois, vraiment ! s’écrie le premier en ricanant. Je le croirais si je ne savais pas que vous êtes le roi des menteurs. Mais je vous connais, beau masque ! Vous me dites « les Chinois » parce que vous voulez que je pense qu’il s’agit des Japonais. Halte-là. Ça ne marche pas avec moi. J’ai fort bien compris qu’il s’agissait, en fait, des Chinois. Alors, gros malin, pourquoi me mentez-vous ?