C’est un bègue et un bossu qui font du tourisme. le bègue : – Tu tuu tu veux bbb. .. bien mmmm me prendre en ffff.. ffff.. photo ? – Certainement, (et il ajoute pour se foutre de sa gueule), mais surtout bégaie pas pendant que je prends la photo sinon elle sortira floue !
Le bègue est vexé, et une fois que l’autre a pris la photo, il dit : – Ààà… àà… à toi !
L’autre prend la pose, le bègue prend la photo et dit : – Ttt… tu… ttuuu… tu cccrois qqq… que… que la… llll… l’alllbum va pouvoir se fffermer, avec ttta bossse ?
Un gars rencontre son ami qui est bègue : – Dis donc t’as pas l’air jouasse ? – Sa, tu, tu ne, peu, peux pa, pas sa, savoi, savoir ce qui, ma, mari, m’arrive ! – Comment ça ? Tu as des problèmes ? Je peux t’aider ? – Non mer, non merci, tu, tu es sain, sympa, mé, mais il fo, faut que je te ra, racon, raconte ! tu tu tu sais qu que ma bé belle-mère a a habite ché, chez moi… – Effectivement ! C’est une sacré tuile ! Je te plains mon pauvre vieux ! – Alors la se, semé… semaine dé der… dernière nou, nous re, regar… regardions la té télé a avec ma fa… femme et mon ch… chien Guismo et ma bé… belle-mère. A un, à un mo… à un moment, je re, re-gar, regarde gui, Guismo. Il é, était en train de, de pas, passer sa, sa pa, patte de der… patte de derrière d-d-dans s-s-son oreille. Alors je, je dis à, à ma bé… belle-mère : « B-b-belle ma-man, vous né, n’êtes pa, pas ca… ca-pa, capable de fé… de de faire la, la mé… la même chose ? » – Et c’est pour ça que vous vous êtes fachés ? – Oui, p-p-par, parce que le, le temps que je, je le di, le dise ce q-q-que j-j-j-e viens d-d-de t-t-te dire, Gui-Guismo sé, s’était mis a, à se lé, lécher le cul !
C’était le grand congrès charismatique des Témoins de Jéhovah. 80 000 personnes dans le stade, toutes venues passer deux jours à louer la gloire du seigneur. Après la journée des prières le samedi, nous voici rendu le dimanche à la journée des miracles.
Le grand prêtre se tourne vers la foule et l’invite à prier pour les personnes lésées physiquement ou mentalement. Il annonce solennellement : – Y a-t-il dans cette salle quelqu’un qui veut qu’on prie pour lui ?
Légers murmures dans l’assistance. Soudain, quelqu’un se lève et s’approche de la vaste scène. Malgré ses béquilles il réussit à grimper l’escalier jusque sur la scène. Le grand prêtre lui demande : – Quel est ton nom ? – Denis. – Et quel est ton problème, Denis ? – J’ai eu un accident il y a plusieurs années et je ne peux me déplacer qu’avec les béquilles. – Très bien, Denis ; va derrière ce paravent. Nous allons tous prier pour toi.
Pendant que Denis marche vers le paravent, le grand prêtre redemande : – Y a-t-il une autre personne qui veut qu’on prie pour elle ?
Une personne se lève et se dirige vers la scène. – Quel est ton nom ? demande le prêtre. – (voix bégayante) Mon-mon nom c’est-C’est Jou-Jou seffe. – Bonjour Joseph, quel est ton problème ? – J’ai-j’ai un gggra-grave pro-problèmme d’élocu-Cution. – Bien Joseph, va derrière ce paravent; nous allons tous prier pour guérir ton problème d’élocution.
Pendant que Joseph marche vers le paravent, le grand prêtre redemande : – Y a-t-il une autre personne qui veut qu’on prie pour elle ?
Aucun autre personne ne se lève. Le grand prêtre commence alors ses prières appuyé par les 80000 personnes présentes. – Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !
Au bout d’une demi-heure, la foule est en transe. Le prêtre se tourne vers le paravent et crie : – DENIS, JETTE TES BÉQUILLES PAR-DESSUS LE PARAVENT !
Une paire de béquilles jaillit du paravent et tombe sur la scène. La foule frémit : MIRACLE ! MIRACLE ! 35 femmes s’évanouissent ! 46000 personnes tombent à genoux !
Le prêtre crie encore : – JOSEPH ! DIS-NOUS QUELQUE CHOSE ! – DEU-DEU-NI Y EST TOM-TOMBÉ…
Deux copains, qui s’étaient perdus de vue, se rencontrent par hasard dans un café. L’un des deux demande à l’autre : – Al..al..alors que…que dev…dev..deviens tu..tu..tu… ? – Ben, je suis marié, j’ai deux enfants. Et toi ? – Moi..moi… je..je.. suis tou..tou..jours cé..cé..céliba..ba…taire. Et ta..ta…san..santé, ça..ça va ? – J’ai été opéré il y a un mois de la prostate mais maintenant, ça va. – C’est…c’est quoi…quoi… la pro..la pro.. la posta..ta..te… ? – Simple : je pissais comme tu parles…