blague bègue

La lapine du bègue qui part en vacances

C’est l’histoire d’un bègue qui part en vacances. Avant de partir, il confie sa lapine à l’une de ses amies.

En rentrant de vacances, il va rechercher sa lapine, et tombe sur le mari de son amie. Celui-ci, client assidu d’un bordel du quartier, vient d’attraper une chaude pisse carabinée.
– Sa-salut ! ça-ça va ?
– Oh ben, à peu près. Et toi ?
– Oh b-b-ben ça-ça va. Dis, t’as ma la-lapine ?
– Oui, mais comment tu le sais ?
– B-ben, je l’ai re-refilée à ta-ta femme avant d’pa-partir.

Le boiteux et le bègue

Un boiteux et un bègue bavardent :
– Si tu tuuu tutu…tu savais comme c cc cc’est gênant de papa pas pouvoir sexe…s’exprimer comme tttt tout le mon monde…pffffff !
– Ben tu sais, chacun son handicap. Regarde, moi par exemple, j’ai un pied plus court que l’autre, alors je boite. Et dans la rue, tout le monde me regarde du coin de l’oeil.
– Ah ben tata t’as raison là…mais momo mmmoi je connaît uuun truc ppp p pour plus boiboi boiter.
– C’est vrai ça ? si tu me le dis, moi j’te dirai un truc pour plus bégayer.
– Ben é é écoute…c’est simple. tutu tu marches au bobo bord du trotro trottoir en mettant un un un pied susur le trotro trottoir, et un un pied dans le caca caniveau.
– Formidable ton truc…j’y avais pas pensé…vraiment t’est un pote toi !
– Et tt toi tonton ton truc pour plus bébé bégayer ?
– C’est simple aussi : tu fermes ta gueule !

La méthode de vente du bègue

C’est un gars qui vend des brosses à dents en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les brosses à dents à sa place. Un candidat bègue se présente :

Le bègue :
– J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses à dents p-p-pour v-v-vous !

Le boss :
– Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème d’élocution tu sais…

Le bègue :
– Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer…

Le patron :
– Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel.

Le lendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton ! D-d-d-donnez moi d-d-d-dix c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cent c-c-c-cartons !

Le boss :
– Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès ? Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de brosses à dents ?

Le bègue :
– C-c-c-c’est s-s-s-simple. J-j-j-j’installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées… J-j-je met une p-p-p-pancarte « D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite ». J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce et d-d-des cr-cr-crevettes. Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce et goûtent… « Beuarh ! Cette sauce a le goût de merde ». qu-qu-qu’ils d-d-disent et j-j-j-je rép-p-p-pond :
« C-c-c’en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents ? »

La promenade du bègue et de son ami

C’est deux types dont un bègue qui se promènent dans la rue.
– T’as … t’as vu la be … la belle … F… fe… ferra … ferra …
– Oui, je l’ai vue la Ferrari, je l’ai vu !

Un peu plus tard :
– T’as … t’as … t’as … v … vu la Jag … jag … jag …
– Oui, je l’ai vue la Jaguar, je l’ai vu !

Encore un peu plus tard :
– T’as … t’as vu la Mer … la mer …
– Oui, je l’ai vue, je l’ai vue !
– Eh eh ben alo …. alors, pour … pourquoi … t’as ma … marché dedans ?

Le voyageur bègue et la gare de Bordeaux

Au moment où le train ralentit pour entrer en gare, un voyageur bègue s’adresse à un monsieur et lui demande :
– Pa-pa-pa-pardon, Mon-monsieur. Est-Est-Est-ce-que-que-que c’est la ga-ga-gare de Bo-Bo-Bordeaux ?

L’autre ne répond pas et continue à regarder par la fenêtre. Le bègue réitère sa demande :
– Pa-pa-pardon, c’est Bo-Bo-Bordeaux ?

L’autre ne répond toujours pas. Finalement, le train s’arrête et on entend au haut-parleur :
« Bordeaux, ici Bordeaux. Trois minutes d’arrêt. »
Le voyageur attrape sa valise et descend en quatrième vitesse.

Un autre voyageur reste dans le train. Il était plus loin dans le compartiment, et avait assisté à toute la scène; il s’adresse à celui qui n’avait pas répondu :
– Ce n’est pas très gentil. Pourquoi n’avez-vous pas répondu à ce monsieur ?
– J’a-j’a-j’avais pas-pas-pas le temps et en-en-en plus, il m’au-m’au-m’aurait su-su-su-re-ment ca-ca-cassé la gueu-gueule.

Dessin un bègue scandalisé par la blague
Le voyageur bègue et la gare de Bordeaux