blague arnaques

Le petit Poucet des rats

Un grand ami des bêtes raconte :
– J’avais constaté la présence d’un rat dans mon garage. Plutôt que de le tuer par un produit anti-coagulant, j’ai eu l’idée de disposer en ligne des grains de blé de telle façon que, lorsqu’il les aurait tous mangés, il se retrouve dans la nature.
– Génial ! Et alors ?
– Trois autres rats qui étaient dans la nature ont suivi cette piste à l’envers de telle façon que, lorsqu’ils ont eu mangé tous les grains de blé, ils se sont retrouvés dans mon garage, ce qui fait que maintenant, ils sont quatre.

La vieille qui voulait…

humour, blague sur les vieilles, blague sur se faire baiser, blague sur les chauffeurs de taxi, blague sur les clubs privés, blague sur les frais d'admission, blague sur les arnaques

Une vieille riche un jour demande à un chauffeur de taxi d’une ville inconnue, si il connaissait une adresse où elle pourrait se faire baiser.

Le chauffeur la conduit à une adresse et la laisse devant la porte. La vieille monte un petit escalier et arrive devant une porte munie d’un petit judas. Elle frappe, le judas s’ouvre et une voix féminine lui demande ce qu’elle veut.
– Je veux me faire baiser, dit la vieille.
– Parfait, mais c’est un club privé, ici, il faut glisser un billet de 100 euros pour couvrir les frais d’admission.
– Voilà !

Dix minutes passent, le vieille est toujours devant la porte à attendre qu’elle s’ouvre. Elle refrappe à la porte, le judas s’ouvre :
– Oui ?
– Je voudrais me faire baiser !
– Encore ?!

Ivres de saucisse

humour, blague sur les poivrots, blague sur les saucisses, blague sur les fellations, blague sur les bars, blague sur l'homosexualité, blague sur les arnaques

Deux poivrots fauchés sont en manque de bière. Le premier dit à l’autre :
– J’ai une idée. Puisque l’on a que 2 euros pour nous deux et que c’est trop peu pour aller dans les bars, on va aller acheter un hot-dog au coin de la rue…

Le deuxième poivrot ne comprend pas bien la technique mais il laisse faire. Une fois la saucisse achetée, le premier tire le second dans le bar le plus proche. Là, ils commandent plusieurs verres qu’ils descendent promptement.

Lorsque le barman arrive dans leur direction avec l’addition, le premier prend la saucisse, la glisse dans la braguette du second, et entreprend de faire une fellation à la saucisse !

Le barman est furibard :
– TIREZ-VOUS DE MON BAR ESPÈCES DE DÉGÉNÉRÉS !

Voyant que la technique a fonctionné dans le premier bar, les deux compères pénètrent dans le deuxième bar le plus proche et répètent le scénario… Toujours avec le même succès.

Quelques heures et quelques bars plus tard, ils ne peuvent plus faire un pas tellement ils sont bourrés, et ils s’écroulent sur un banc. A ce moment là, le premier dit au second :
– Tu as vu ce qu’on peut faire avec une saucisse ?

Et l’autre lui répond :
– Quelle saucisse ? On l’a perdue après le deuxième bar…

Le Parisien qui pue des pieds

humour, blague sur les parisiens, blague sur les maîtres-nageurs, blague sur les arnaques, blague sur la mer du Nord, blague sur le prix de l'eau, blague sur les citadins

C’est l’histoire d’un parisien qui pue des pieds, à qui le médecin a conseillé de faire des bains de pieds d’eau de la Mer du Nord deux fois par jours.

Notre parisien arrive donc à Dunkerque et se rend tôt le matin sur la plage avec une bassine. Il s’approche d’un maître-nageur sur sa chaise et lui demande si il peut remplir sa bassine avec de l’eau de mer.

Le maître-nageur acquiesce d’un signe de la tête. Une fois fait, le Parisien s’approche du maître-nageur à nouveau pour lui demander combien il doit payer. Le maître-nageur qui en a vu d’autres et qui sait que discuter avec un Parisien ne sert à rien, lui demande 2 euros.

Le soir, notre Parisien de revenir et de demander l’accord du maître-nageur pour remplir sa bassine. Celui-ci accepte bien sûr.

Mais comme c’est marée basse, notre Parisien met un certain temps avant de revenir chez le maître-nageur pour lui demander combien il doit payer.

« Même quantité, même prix » répond le maître nageur qui n’a vraiment pas envie de discuter.

Notre Parisien paie, mais avant de partir, il se retourne vers le maître nageur et dit :
« Dites, c’est fou ce que vous avez bien vendu aujourd’hui ! »