blague alcoolisme
La sélection naturelle et l’alcool
Une horde de buffles va en fait aussi vite que le peut le plus lent de la troupe, et quand la horde est chassée, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont tués en premier.
Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, car elle permet d’améliorer la vitesse et la santé de l’ensemble par l’élimination régulière de ses membres les plus faibles.
A peu près de la même manière, le cerveau humain n’est pas plus rapide que sa cellule la plus lente. Des ingurgitations excessives d’alcool – nous le savons tous – détruisent des neurones, mais cela attaque naturellement les neurones les plus lents et les plus faibles en premier. Ainsi, une prise régulière de bière permet, par l’élimination des cellules cérébrales les plus faibles, de faire du cerveau une machine plus rapide et efficiente.
Les résultats de cette très sérieuse étude épidémiologique vérifient et valident le lien de causalité entre les beuveries du week-end et l’efficience au travail. Cela explique également pourquoi, quelques années après avoir quitté l’école ou l’université et s’être marié, la plupart des ingénieurs ou des chefs de projet ne peuvent plus concurrencer en terme de performances les nouveaux diplômés.
Seuls ceux qui s’astreignent un régime strict de consommation d’alcool en quantité indécente peuvent maintenir le niveau intellectuel qui fut le leur lors de leurs études.
Soyons braves, mes frères ! Cul-Sec ! Notre société et notre nation ont besoin de nous à notre meilleur niveau. Il ne faut pas s’empêcher d’avoir la carrière que l’on mérite…
La recette drôle de la dinde au whisky

ETAPE 1 :
Acheter une dinde d’environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l’huile d’olive, des bardes de lard.
ETAPE 2 :
La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d’huile d’olive.
ETAPE 3 :
Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.
ETAPE 4 :
Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.
ETAPE 5 :
Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
ETAPE 6 :
Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.
ETAPE 7 :
Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.
ETAPE 8 :
Se bercer 3 berres de whisky.
ETAPE 9 :
Après une debi beurre, fourrer l’ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.
ETAPE 10 :
Brendre la vouteille de biscuit et s’enfiler une bonne rasade derrière la bravate – non – la cravate.
ETAPE 11 :
Après une demi-heure de blus, tituber jusqu’au bour. Oubrir la putain de borde du bour et reburner – non – revourner – non – recourner non – enfin, mettre la guinde dans l’autre sens.
ETAPE 12 :
Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant – bordel de merde.
ETAPE 13 :
Essayer de s’asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.
ETAPE 14 :
Buire – non – luire – non – cuire – non – ah ben si – cuire la bringue bandant 4 heures.
ETAPE 15 :
Et hop, 5 beurres de plus. Ça fait du bien par ou que ça passe.
ETAPE 15 :
R’tirer le four de la dinde.
ETAPE 16 :
Se rebercer une bonne goulee de whisky.
ETAPE 17 :
Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.
ETAPE 18 :
Rabasser la dinde qui est tombée bar terre. L’ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s’en fout…
ETAPE 19 :
Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.
ETAPE 20 :
Décider que l’on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.
ETAPE 21 :
Ramper jusqu’au lit, dorbir toute la nuit.
ETAPE 22 :
Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise le lendemain matin, et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.

Le paysan à la chorale du curé
C’est un paysan qui s’est inscrit à la chorale du curé et qui explique à son voisin :
– Ça, cré bon dieu, je n’regrette pas d’avoir été m’inscrire à la chorale du curé. Ah ça ! c’est drôlement bien ! Quand on y va, le curé, il est gentil, il nous sert un petit porto. Et puis il est bon, son petit porto… Les curés, comme qui dirait, ils se démerdent toujours pour avoir des bons trucs. Après, il nous sert un petit mousseux. De temps en temps, on s’en ouvre même une caisse… quand ce n’est pas un petit blanc du Poitou, alors c’est vous dire ! Pis pour finir, des fois, on s’tape un petit marc de Bourgogne…
– Mais alors, vous chantez quand ?
– Ben le soir, quand on rentre chez nous !