La douleur de Guillaume Seznec

Les perles : la justice

Guillaume Seznec a toujours nié son crime. Condamné aux travaux forcés à perpétuité en 1924 malgré l’absence de cadavre et d’arme du crime, il passe vingt-trois ans au bagne en Guyane. En 1947, il est gracié pour bonne conduite et libéré. Il continue de crier son innocence. Sa famille aussi. Mais en novembre 1953, après avoir réintégré la communauté des hommes, il est renversé par une voiture en plein Paris. Il mourra trois mois plus tard. Ses derniers mots : « Maman, on m’a fait trop de mal ! »

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