Blagues

La blague des parachutes

Alors qu’ils sont à 10.000 mètres d’altitude, les passagers d’un avion constatent qu’un des moteurs est en feu. Un vent de panique souffle alors dans la cabine. L’hôtesse tente de les raisonner mais ne parvient à rien, d’autant plus qu’un deuxième moteur vient de s’enflammer sur l’autre aile de l’appareil.

À ce moment, le pilote sort de la cabine de pilotage et se montre aux passagers en souriant. Il explique à tout le monde que tout va bien se passer, que la situation n’est pas critique et que l’avion est totalement sous contrôle. Du coup, les passagers se calment et vont se rasseoir.

Après son speech, le pilote extrait plusieurs paquets du cockpit et il en tend un à chaque membre de l’équipage. Un des passagers qui regarde la scène demande :
– Mais… Ce sont des parachutes ?

Et le pilote répond :
– Oui, ce sont des parachutes.
– Pourtant vous venez de nous dire que tout va bien et qu’il n’y a rien à craindre ?
– Tout à fait vrai. On va chercher de l’aide et on revient.

Les formalités du mariage

Un jeune homme se présente au père de sa petite amie :
– Je me rends compte qu’il ne s’agit que d’une formalité, lui dit-il, mais verriez-vous un inconvénient à ce que j’épouse votre fille ?
– Qui a dit que c’était UNE FORMALITÉ ? répond le père en colère.
– Son gynécologue… répond le gars.

L’amour déshérité

Les deux jeunes mariés sont en pleine lune de miel. Ils sont allongés sur le lit et le mari, très amoureux, demande :
– Chérie, si j’étais, disons, défiguré, est-ce que tu m’aimerais toujours ?
– Bien sûr mon chéri, je t’aimerai toujours, lui répond sa jeune épouse calmement en lui prenant la main.
– Et si je devenais impuissant, et que je ne pouvais plus te faire l’amour ? continue-t-il avec inquiétude.
– Ne dis donc pas de bêtise, mon amour, tu sais bien que je t’aimerai toujours ! Insiste-t-elle.
– Bien, et si je perdais mon poste de vice-président dans l’usine de papa, et que mon père me déshéritait ? Est-ce que tu m’aimerais toujours alors ?

La jeune femme regarde avec tendresse le visage inquiet de son mari et lui répond :
– Je t’aimerai toujours mon bébé en sucre et tu ne peux pas savoir combien tu me manqueras.

La blague du prix du déshonneur

Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
– Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
– Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
– Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !

Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».

Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.

Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
– Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?

Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
– Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?