Blagues

Le respect dans l’armée française

Le sergent-chef Bonnetête doit passer un coup de fil urgent. Il s’apprête à utiliser une cabine téléphonique de la caserne, mais n’a pas de monnaie.

Voilà justement le deuxième classe Patimbert qui arrive en traînant ses Rangers. Le sergent lui demande :
– Soldat Patimbert, est-ce que vous auriez une pièce de 1 franc ?
– À l’aise, Blaise ! répond Patimbert.

Le sergent Bonnetête voit rouge :
– Est-ce que c’est une façon de s’adresser un supérieur ?! Maintenant je vais reposer ma question. Deuxième classe Patimbert, auriez-vous une pièce de un franc à me prêter ?

Et Patimbert :
– Chef, NON chef !

La note du père de Toto

Toto demande à son père :
– Papa, tu te rappelles le problème que tu m’as fait hier ?
– Et alors ?
– Hé bien, il était tout faux !

Et le père déçu :
– Alors j’ai eu zéro ?
– Oui mais ne t’inquiète pas : les autres pères n’ont pas fait mieux que toi.

Quand Toto fait du vélo

C’était le jour de la rentrée au cours élémentaire, et l’institutrice tâchait d’en savoir un peu plus sur chacun des élèves en leur faisant raconter leurs vacances :
– Alors, toi Sylvie, tu as fait du sport pendant tes vacances ? demande-t-elle.
– Euh oui madame, répond la petite fille, mon papa m’a appris à faire de la grimpette.
– Tu veux dire de la varappe je pense. Et ça t’a plu ?
– Oh oui madame beaucoup.
– Très bien. Et toi Kévin, as-tu fait du sport ?
– Oui madame. Avec mon frère, on a fait de la course.
– Ah, tu veux dire de l’athlétisme Kévin. C’est très bien ça.
– Et toi Toto, est-ce que tu as fait du sport pendant tes vacances ?
– Oh oui madame, j’ai fait du vélo ?
– Ah c’est bien ça. Mais tu sais qu’on peut aussi appeler ça du cyclisme, surtout quand on fait de la compétition. Et tu as fait du cyclisme avec toute ta famille ?
– Oh non, certainement pas ! s’exclame Toto. Papa ne veut pas que l’on fasse du cyclisme en famille !
– Et pourquoi donc ? C’est pourtant bien agréable, répond l’institutrice avec curiosité.
– Je ne sais pas, explique Toto, Mais papa dit toujours que quand maman et ma grande sœur ont leur cycle en même temps, on ferait aussi bien de quitter la ville !

La reconnaissance de l’ours

Comment reconnaître à quel ours vous avez affaire lors de vos vacances dans le Montana ?

Approchez-vous de la bête sans faire de bruit et sans qu’il ne vous voit. Balancez-lui ensuite un bon coup de pied dans le derrière et partez en courant vous réfugier dans un arbre.

Si l’ours monte dans l’arbre derrière vous et vous dévore, c’est que vous avez botté le cul d’un ours noir.

Par contre, si l’ours se poste au bas de l’arbre et se met à le secouer jusqu’à ce que vous tombiez avant de vous dévorer, ça veut dire que vous aviez affaire à un grizzly.

Une adoption tortueuse

Une petite tortue cherchait à grimper à un arbre, lentement, laborieusement. Après de longues heures d’effort, elle atteint le sommet. Elle se repose quelques minutes, puis plonge vers le sol, les pattes avant et arrière en extension, battant l’air désespérément. Elle s’écrase dans un « plaf » assourdissant.

Après avoir retrouvé conscience, notre petite tortue se remet en route pour une nouvelle escalade du tronc de l’arbre. Après plusieurs heures, elle arrive à ses fins, se repose quelques minutes et saute à nouveau, s’écrasant assez lourdement.

Un couple d’oiseaux perchés sur une branche plus élevée observait ce spectacle affligeant depuis le début. N’en pouvant plus, l’oiseau femelle dit à l’oiseau mâle :
– Dis donc, chéri, tu ne penses pas qu’il est temps de dire à notre petite tortue qu’elle a été adoptée ?