Blagues fous

Madame l’Empereur…

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Le corps médical a décidé de tester la théorie d’un éminent psychiatre selon laquelle en confrontant à huis clos deux malades mentaux qui se prennent pour le même personnage, on les amène tout naturellement à constater qu’ils ne peuvent être deux avec la même identité, et on obtient leur guérison. On choisit donc, dans un hôpital psychiatrique, deux malades qui se prennent tous les deux pour Napoléon, et on les enferme dans la même pièce avec de la nourriture et des boissons pour huit jours, sans aucune possibilité de contact avec l’extérieur. Une semaine plus tard, devant tout ce que la psychiatrie compte de sommités, on ouvre la porte. Le premier pensionnaire sort, toise longuement les médecins, et leur lance :
– Eh bien ? On ne salue plus son empereur ?

Silence. Les secondes s’écoulent, le second pensionnaire n’apparaît toujours pas. Chacun retient son souffle. Enfin, le premier se retourne vers la porte et crie :
– Alors ? Tu viens, Joséphine ?

Logique psychiatrique

À l’hôpital psychiatrique, c’est l’heure de la promenade et les internés bavardent entre eux.
– Oh, tu n’as pas l’air en forme, aujourd’hui. Tu as mauvaise mine.
– Ne m’en parle pas ! Je ne ferme plus l’œil depuis plusieurs nuits.
– Mais pourquoi ?
– Parce que je ronfle et que mes ronflements m’empêchent de dormir.
– Tu n’as qu’à faire comme moi. Va dormir dans la chambre d’à côté.

Mon mari est une fleur

Une dame au psychiatre :
– Mon mari se prend pour une fleur, que dois-je faire ?

Le médecin que plus rien n’étonne :
– Avant de prendre une décision, je dois lui parler.

La femme détache l’œillet épinglé à son corsage :
– Le voici, docteur, mais ne le contrariez pas, il est capable de perdre ses pétales.

Un suicide de fou

Dans un hôpital psychiatrique, deux malades discutent de leurs malheurs. L’un d’eux voulant en finir avec la vie part à la cuisine et revient avec une poêle à frire. Le deuxième, stupéfait, lui demande :
– Que veux-tu faire avec cette poêle ?
– Je veux me faire sauter la cervelle !