Blagues mort

Le football au Paradis

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Deux vieux amis Marcel et Jojo, 90 ans tous les deux, ont été amis toute leur vie. Jojo est à l’article de la mort et Marcel lui rend visite tous les jours.

Un jour, Marcel lui dit :
– Jojo, toi et moi avons aimé le foot toute notre vie.  Nous avons joué ensemble chaque Dimanche pendant de nombreuses années.  Je voudrais que tu me rendes un service quand tu seras au Ciel.  Débrouille-toi pour me faire savoir si on joue au foot là-haut.

De son lit de mort, Jojo s’adresse à son ami :
– Marcel, tu as été mon meilleur ami pendant toutes ces années. Je te rendrai ce service si je le peux.

Quelques instants plus tard, Jojo quitte ce monde. Quelques jours plus tard, à minuit, Marcel est réveillé dans son sommeil par une lumière blanche aveuglante. Une voix lui dit :
– Marcel ! Marcel !
– Qui est-ce ? demande Marcel affolé, assis sur son lit.
– C’est moi Jojo.
– C’est impossible, Jojo vient de mourir !
– Je te dis que c’est moi Jojo !
– Jojo ! Mais où es-tu ?
– Au ciel. J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t’annoncer.
– Vas-y, commence par la bonne, demande Marcel.
– Eh bien, la bonne, c’est qu’on joue bien au foot au Ciel. Mieux, tous nos vieux potes qui sont morts avant nous sont ici aussi ! Encore mieux, on a tous retrouvé notre jeunesse ! La meilleure de toutes, c’est que c’est toujours le printemps, pas de pluie, pas de  neige ! Il n’y a pas d’arbitres (on a dû les envoyer ailleurs) ! Et cerise sur le gâteau, on peut jouer autant qu’on veut, on n’est jamais fatigués !
– C’est fantastique ! répond Marcel. C’est encore mieux que ce que j’avais espéré ! Mais la mauvaise nouvelle, c’est quoi ?
– T’es sur la feuille de match samedi !

Relativisme breton

Un jeune matelot breton était sur le point d’embarquer.
– Comment, lui dit un Parisien, osez-vous vous aventurer sur une mer où votre grand-père, votre père, tous les vôtres ont péri ?
– Mais où donc sont morts vos aïeux ? demanda le matelot.
– Dans leur lit pardieu !
– Et vous osez encore vous coucher ?

La lecture de l’héritage

Tenant une vingtaine de feuillets à la main, le notaire dit aux héritiers d‘un homme très riche qu’il a convoqués à son étude :
– Je vais vous donner lecture du testament, en négligeant, bien sûr, les insultes, les lazzis, les mots d’esprit vengeurs, les ricanements et les invectives dont il accable ceux qui ont toujours été dans l’attente de son héritage… Eh bien, voilà : j’en ai terminé.

Le deuil du patriarche

Il est de coutume dans cette famille, lorsque le patriarche décède, de le revêtir de son costume de mariage pour l’exposer sur son lit, avant la visite des voisins et amis. Or, impossible de trouver dans les armoires des chaussettes noires à sa pointure. Seule, une paire de chaussettes rouges peut faire l’affaire. Le soir, une voisine choquée, en fait la remarque à la famille :
– Vous n’avez aucun respect pour les défunts. Lui mettre des chaussettes rouges, c’est une honte !
– Et bien quoi, après tout, ce n’est pas lui qui est en deuil.

La sécheresse de la mort

Un reporter questionne la veuve d’un explorateur :
– Votre époux était-il bien assuré ?
– Hélas, non, répond-elle. C’est dire que lorsqu’il est mort de soif dans le désert du Kalahari pour moi, ça a été une perte sèche.