Blagues alcool

Les sourds au bar

C’est Cafougnet’ qui dirige le bar en face d’un institut de sourds et malentendants, et qui doit partir a la communion de sa nièce. Il demande donc a son ami Patisse Boudaine de le remplacer pour le dimanche.
– Tu vois, c’est très simple, lorsqu’ils font ça (il serre le poing avec le pouce en haut), c’est qu’ils veulent un verre de vin blanc. Et s’ils font ça (il met le pouce en bas), c’est qu’ils veulent une bière. C’est pas compliqué ? Tu m’appelles s’il y a un problème.

Tout se passe alors très bien, mais vers 14h30, Cafougnet’ est appelé au téléphone.
– Alors ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
– Ben j’ai tout fait comme t’as dit. Le pouce en haut pour un verre de vin blanc, et le pouce en bas pour une bière. Mais maintenant, il y en a trois au comptoir et ils restent plantés là, la bouche ouverte. Qu’est-ce que je leur sers ?
– Oh. C’est rien. Ils chantent.

Le mouvement incessant du whisky de contrebande

Au temps de la prohibition, aux Etats-Unis, Eliott Ness a été chargé de remettre de l’ordre dans la police. Convoquant ses collaborateurs, il leur déclare :
– J’ai décidé d’arrêter le mouvement incessant du whisky de contrebande…
– Des entrepôts d’Al Capone aux speakeasies de Chicago ?
– Non. De la poche arrière de votre pantalon à vos lèvres.

Une fiancée contre du pastis

C’est une petite ville où les gars ont l’habitude de boire sec. Un manœuvre, qui paraît assez ennuyé, va trouver son patron.
– Il m’arrive une chose terrible, lui confie-t-il.
– Quoi donc ?
– Je n’ai plus de fiancée.
– Elle a rompu ?
– Non. Je l’ai échangée contre quatre bouteilles de pastaga !
– Et maintenant, tu te rends compte que tu l’aimais ?
– C’est pas ça, patron, mais j’ai encore soif !

Le courrier de l’industriel

Un industriel confie à un ami :
– Moi, vous voyez, quand j’ai beaucoup de travail qui s’accumule, du courrier en retard, par exemple, je m’installe, un soir, dans mon bureau avec une bonne bouteille de whisky et, deux heures après, c’est liquidé.
– Votre courrier ?
– Qui pense encore au courrier ? Non : le whisky.

La blague du mec bourré au stand de tir

C’est un mec au regard vide, genre imbibé d’alcool, qui se ballade dans une fête foraine. Il s’arrête devant le stand de tir :
« On peut tirer ici ? » demande-t-il.

Le tenancier lui donne une carabine et voilà le gars qui montre un talent de tireur insoupçonnable surtout pour un mec bourré : il casse toutes les pipes les unes après les autres.

« Chapeau ! » lui dit le gars qui tient le stand. « Voici votre lot » et il lui remet une tortue dans les mains.
Le gars la prend et s’en va.

Plus tard dans la soirée, le tireur d’élite repasse sur le stand, encore plus titubant, encore plus bourré. Il s’exclame « allez, je remet ça ! ». Et le gars refait un carnage au casse-pipe.

Le tenancier lui lance « On peut dire que l’alcool vous réussi vous ! Voici votre lot… » Et il lui donne un petite horloge en toc.

Le gars lui répond : « Je préférerais un sandwich comme tout à l’heure. »