Blagues infidélité

Les divagations du cocu

Le mari rentre chez lui et dit à sa femme :
– Je suis inquiet, tu sais. Ça fait quinze jours qu’un gars m’aborde tous les soirs à la sortie du bureau, au moment où je vais traverser la rue. Et à chaque fois, il me dit : « Cocu, vilain cocu ! ».
– Mais enfin, lui répond sa femme, tu ne vas tout de même pas attacher de l’importance aux divagations du premier farceur venu. Tu sais bien que je t’aime et cet imbécile n’y peut rien !

Alors le mari s’endort, rassuré. Et le lendemain, quand il sort de son bureau, au moment où il va traverser la rue, le même personnage s’approche de lui et lui glisse à l’oreille :
– Cocu ! Vilain cocu ! Et rapporteur en plus…

Les tartines du cocu

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La clef tourne dans la serrure et l’amant a tout juste le temps de se jeter sous le lit. Le mari se déshabille, se couche près de sa femme et lui fait mille amabilités une grande partie de la nuit. Elle s’offre à lui d’ailleurs avec d’autant plus de complaisance qu’elle sent le besoin de se faire pardonner.

Ils finissent leurs cabrioles si tard qu’il fait grand jour. Alors, la femme se lève, elle va faire du café au lait à la cuisine et elle revient avec un grand plateau.
– Chéri, dit-elle, tu veux des tartines avec du miel ou avec de la confiture ?
– Moi, ce sera avec du miel, dit le gars.

Et se penchant pour regarder sous le lit, il ajoute :
– Mais peut-être que Monsieur préfère la confiture ?

La venue du jeune homme

La femme de chambre arrive bouleversée dans la chambre de sa patronne :
– Madame, madame, c’est terrible, Monsieur a appris par la concierge, qu’en son absence, un jeune homme était venu à la maison mercredi soir et n’en était parti qu’au petit matin !
– J’ai une idée, nous dirons à Monsieur que ce jeune homme est venu pour vous.
– Ah, non ! Surtout pas ! Parce qu’alors là, Monsieur serait encore plus furieux.

Surveillance très rapprochée

– Vous avez l’air fatiguée, remarque une dame, en croisant l’une de ses voisines.
– En effet. Mon mari est souffrant et je dois le surveiller jour et nuit.
– Mais vous n’aviez pas pris une infirmière ?
– Si. C’est une fille superbe. C’est bien pour cela que je dois le surveiller.