blague vieille fille

La chance de l’insécurité

Deux vieilles filles bavardent et se lamentent sur l’insécurité grandissante.
– Moi, dit la première, tous les soirs quand je rentre chez moi, je regarde sous le lit pour voir s’il n’y a pas un homme caché.
– Moi aussi, fait l’autre, tous les soirs je regarde ! Et je vais acheter un deuxième lit.
– Ah bon ? Pourquoi ?
– Pour doubler mes chances.

Le sauvetage de l’ail

Sauvée miraculeusement de son appartement en feu, au quatrième étage, une vieille fille soupire :
– Je n’ai quand même pas de veine ! Pour la première fois de ma vie qu’un homme me prend dans ses bras, il faut que ce soit un pompier qui empeste l’ail.

Les vieilles filles au cinéma

Deux vieilles filles bavardent :
– Hier soir, dit l’une, j’étais au cinéma. Eh bien, vous me croirez si vous voulez, mais j’ai été obligée de changer sept fois de place.
– Pourquoi, demande l’autre. Un homme vous a poursuivi de ses assiduités ?

Alors, la première, radieuse :
– Finalement, oui !

C’est qui le plus méchant ?

Le téléphone sonne à la gendarmerie. Le brigadier décroche. Au bout du fil, il y a une vieille fille qui habite à l’entrée du village.
– Venez-vite ! demande-t-elle, c’est affreux ! Le facteur veut tuer mon chien !

Le brigadier tente de la calmer :
– Voyons, c’est impossible. Le facteur est un brave homme qui aime les animaux.
– Un brave homme ? Eh bien, venez donc le voir perché sur la branche du pommier, rouge de colère et criant à mon chien, qui est au pied de l’arbre avec un morceau de son pantalon entre les dents : « J’aurai ta peau, sale bête ! ».

It’s tea time…

Deux sœurs, deux vieilles filles, vivaient ensemble depuis bien des années, et le temps semblait avoir accru leur affection mutuelle. Mais un jour, Marie-Anne, l’aînée, mourut au bel âge de 95 ans. Le médecin à qui incombait la tâche d’apprendre la nouvelle à Anastasie redoutait que l’émotion ne lui soit fatale. Mais la cadette prit fort bien la chose.
– Que la volonté de Dieu soit faite ! dit-elle. Maintenant, je vais pouvoir préparer le thé à ma manière.