blague veuve

Plus tard quand tu seras veuve…

Une jeune femme passe aux Assises pour avoir tué son mari. Le président lui dit :
– Franchement, je ne comprends pas votre geste, votre mari était jeune et charmant.
– C’est exact, monsieur le président.
– Alors, pourquoi l’avoir tué ?
– C’est lui qui m’a mis cette idée en tête affirme-t-elle.
– Pouvez-vous être plus précise ?
– Mais bien sûr, il ne voulait absolument pas que je m’habille en noir et n’arrêtait pas de dire : « Attends donc d’être veuve ».

La blague de la plus jolie pierre

C’est une femme dont le mari vient de mourir. Elle reçoit la visite d’une amie pour le thé, et se confie à elle :
– mon mari avait pensé à tout, lui dit-elle. Juste avant de mourir, il m’avait appelé à son chevet et il m’avait donné trois enveloppes. « Chérie », m’a-t-il dit, « J’ai placé mes dernières volontés dans ces trois enveloppes. Après ma mort, tu les ouvriras, et tu respecteras scrupuleusement les indications que j’y ai reportées. Ainsi je pourrai me reposer en paix ».
– Et qu’y avait-il dans ces enveloppes ? demande l’amie.
– La première enveloppe contenait 5000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour acheter un joli cercueil ». Alors je lui ai choisi un superbe cercueil en acajou très bien rembourré et avec une doublure en soie. Comme ça je sais qu’il se repose dans ce qu’il y a de plus confortable. La deuxième enveloppe contenait 10.000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour organiser des belles funérailles et organise un banquet pour mes amis ensuite ». Alors j’ai fait comme il a dit et aussi bien les funérailles que le repas qui a suivi étaient vraiment très bien.
– Et la troisième enveloppe ? demande l’amie intriguée.
– La troisième enveloppe contenait 25.000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour acheter la plus jolie pierre ».

Et levant la main, elle met sous le nez de son amie une bague sertie d’un diamant de dix carats en ajoutant : « Alors, qu’est-ce que tu penses de cette pierre ? »

La blague du mariage de vieux

La vieille Madame Martin, la veuve du notaire, se fait draguer depuis au moins 5 ans par Monsieur Durand, un ancien colonel de l’armée, veuf lui aussi…

Au cours d’un repas au restaurant, le Colonel a demandé à Madame Veuve Martin si elle voulait bien l’épouser. Immédiatement, elle a répondu « Oui ».

Le lendemain matin, lorsque le Colonel se réveille (ils ont encore dormi chacun de leur côté), il ne parvient pas à se souvenir de ce que lui a répondu madame Martin !
« Était-elle heureuse ? Heu, je pense que oui, attend, non, elle m’a regardé bizarrement… »

Et toute la matinée, le Colonel essaie de se rappeler, mais rien à faire. Alors, n’y tenant plus, il prend son téléphone et l’appelle.

Un peu embarrassé, il finit par lui avouer qu’il ne se souvient plus de sa réponse à la proposition de mariage.
– Oh, lui répond-elle, je suis bien contente que vous appeliez : je me souvenais d’avoir dit « Oui » à quelqu’un, mais je ne savais plus qui c’était.

La veuve et l’orphelin

« Les avocats d’intitulent fastueusement défenseurs de la veuve et de l’orphelin – mais il n’y aurait pas besoin d’avocats pour les défendre s’il n’y en avait pas d’abord pour les attaquer. »

Alphonse Karr

L’appât du gain

– Dis donc, demande un gars à un ami, il paraît que tu as rompu avec la jolie veuve que tu devais épouser ?
– C’est vrai.
– Tu m’avais pourtant dit qu’elle était richement installée.
– Hé, oui ! Elle habite une villa splendide, son mobilier est magnifique et elle a une bagnole sensationnelle…
– Et malgré ça, tu l’as laissée tomber ?
– Oui. Je ne gagne pas assez pour payer les mensualités.