blague train
La blague des deux bébés

Dans le compartiment d’un train, un homme porte deux bébés, un dans chaque bras. Une femme s’installe devant lui et entame la conversation :
« Quels beaux bébés ! Comment s’appellent-ils ? »
L’homme lance un regard agacé à la dame et répond :
« Je ne sais pas. »
La dame continue malgré tout :
« Ce sont des petits garçons ou des petites filles ? »
L’homme semble encore plus agacé et répond :
« Je ne sais pas. »
La femme :
« Mais enfin, quelle sorte de père êtes-vous donc ? »
L’homme répond :
« Je ne suis pas leur père, je suis représentant en préservatifs et eux, ce sont deux plaintes que je vais déposer à la direction ! »
Faire l’amour dans un train couchette
C’est un couple qui fait l’amour dans un train couchette. L’homme dit à la femme :
« Pour être plus discret, chaque fois que l’un de nous deux aura envie de l’autre, il dira presse-moi un citron ! »
Quelques minutes plus tard, la femme demande à son mari de lui presser un citron, par conséquent, ils font l’amour. C’est ensuite au tour de l’homme de demander à sa femme de lui presser un citron : ils font donc encore l’amour.
Ce petit jeu durera plusieurs heures jusqu’à ce qu’une vieille dame se trouvant juste en dessous de la couchette de nos deux lapins dise :
« Arrêtez de vous presser des citrons là-haut, je reçois tout le jus ! »
Le voyageur bègue et la gare de Bordeaux
Au moment où le train ralentit pour entrer en gare, un voyageur bègue s’adresse à un monsieur et lui demande :
– Pa-pa-pa-pardon, Mon-monsieur. Est-Est-Est-ce-que-que-que c’est la ga-ga-gare de Bo-Bo-Bordeaux ?
L’autre ne répond pas et continue à regarder par la fenêtre. Le bègue réitère sa demande :
– Pa-pa-pardon, c’est Bo-Bo-Bordeaux ?
L’autre ne répond toujours pas. Finalement, le train s’arrête et on entend au haut-parleur :
« Bordeaux, ici Bordeaux. Trois minutes d’arrêt. »
Le voyageur attrape sa valise et descend en quatrième vitesse.
Un autre voyageur reste dans le train. Il était plus loin dans le compartiment, et avait assisté à toute la scène; il s’adresse à celui qui n’avait pas répondu :
– Ce n’est pas très gentil. Pourquoi n’avez-vous pas répondu à ce monsieur ?
– J’a-j’a-j’avais pas-pas-pas le temps et en-en-en plus, il m’au-m’au-m’aurait su-su-su-re-ment ca-ca-cassé la gueu-gueule.
