blague sable

La folle du golf

C’est un gars qui invite son ami à une partie de golf sur son 18 trous habituel.

Les voilà au premier tee, prêts à démarrer dès 7 heures du matin lorsqu’ils sont témoins d’une scène extraordinaire : une superbe jeune fille nue traverse le green en courant !

Au moment où elle disparaît dans les bois, l’invité demande à l’habitué :
– Hé, tu as vu ça ! Ça arrive souvent ici ?
– Ne t’inquiète pas de ça et joue plutôt.

Le nouveau se place en position pour son drive, et à ce moment-là, il remarque quatre gars en blouses blanches qui courent sur le green, et se dirigent dans la même direction que la jeune fille. Toujours aussi surpris, il interroge :
– M’enfin, qu’est-ce que ça veut dire ?
– Je t’ai dit de ne pas te soucier de ça. Vas-y joue, on n’a pas toute la journée devant nous, répond l’autre en réprimant un petit rire.

Avec circonspection, l’invité se remet en position de driver, mais pour la troisième fois, il est coupé dans son élan : un autre gars en blouse blanche court sur le green en suivant le même chemin que les autres, mais lui, il porte deux seaux remplis de sable.

Alors le golfeur invité s’arrête et dit en croisant les bras :
– Bon, maintenant, ça va bien : je ne jouerai pas tant que tu ne m’auras pas expliqué ce qui se passe ici !
– D’accord. Il faut d’abord savoir que là-bas derrière le bosquet, c’est l’hôpital psychiatrique. La jeune femme nue que tu as vu courir tout à l’heure, est une patiente qui s’échappe et se met à courir sur le terrain de golf de temps en temps. Et les gars en blouse blanche sont les infirmiers qui essaient de la rattraper.
– Hmmm ok, répond le gars, mais le dernier gars en blouse blanche avec ses deux seaux ?
– Lui, c’est le gars qui l’a attrapée la dernière fois. Les deux seaux de sable, c’est son handicap…

La beauté pratique

Une baigneuse d’une beauté percutante était allongée au soleil sur le sable. Une mère de famille passe, tenant par une main, sa petite fille et de l’autre un pliant. Elle apprécie du regard les charmes de la jolie baigneuse et se décidant aussitôt :
– Puis-je m’asseoir près de vous, mademoiselle ? J’ai rendez-vous avec mon mari sur la plage et j’ai peur qu’avec cette cohue, il ne me trouve pas.