blague russes

Gorbatchev et sa maman

Gorbatchev est au top et il se dit qu’il est temps que sa mère sache jusqu’où son fils est arrivé. Alors il envoie chercher sa maman avec son hélicoptère privé dans son village natal. Ensuite, il s’en va la retrouver avec une escorte de limousines sur la Place Rouge.
– Alors maman, comment ça va ? Tu sais que je suis vraiment content de voir que tu aie pu venir à Moscou. Viens, je t’emmène manger !

La maman de Gorby ne répond rien et elle suit gentiment son fils dans la voiture présidentielle. Ils arrivent dans le restaurant le plus renommé de tout Moscou. Ils sont servis par une escouade de serveurs, un orchestre vient leur jouer des airs slaves… C’est divin.

Mais maman Gorby ne dit toujours rien.
– Tu as aimé le dîner, maman ? Viens, je t’emmène dans ma datcha. Comme ça tu sauras où j’habite maintenant.

Un traîneau attelé à des rennes qui stationnait devant le restaurant les emmène en périphérie de Moscou, et s’arrête devant une somptueuse demeure bâtie sur une colline. Ils sont accueillis par le majordome qui les fait entrer dans la résidence présidentielle. Là ils retrouvent Raïssa.

Enfin, alors qu’ils sont sur la balcon, à admirer les lumières de Moscou, Gorby demande à sa maman :
– Alors quoi maman ?, tu n’as rien dit depuis que tu es arrivée ! Tu n’es pas fière de ton fils ? N’ai-je pas réussi ?

Et maman Gorby répond :
– Miki chéri. Tout ce que j’ai vécu aujourd’hui, tout ce que tu m’as montré, tout ce que j’ai mangé et bu… Tout cela est formidable. Oui vraiment Miki, je suis extrêmement heureuse pour toi… Mais Miki chéri, qu’est-ce qui va se passer si les communistes reviennent ?…

La blague du russe contre Buffalo Bill

blague nationalités, blague américains, blague russes, blague prostitution, blague sexe, blague vantardise, blague monstres, blague bites, blague gâchettes, humour drôle

C’est un Texan et un Russe qui discutent dans un bar le Texan dit au Russe :
– Tu vois ces trois mouches au plafond, et bien je peux les tuer toutes les trois avec une seule balle.
– Tu rigoles ?
Dit le Russe incrédule. Là dessus, le Texan sort son colt et bang…. Les trois mouches tombent foudroyées. Le Russe en est baba et demande son nom à la fine gâchette.
– C’était facile. Mon nom est Bill, Buffalo Bill.

Quelques verres plus tard, et ne voulant pas être de reste, le russe dit à son nouvel ami :
– Tu vois les trois prostituées sur le trottoir, ben je te parie que je peux me faire les trois d’un seul coup.

Le Texan refléchit puis déclare :
– Ecoute, pour les mouches, ok, mais faire l’amour à trois femmes en même temps c’est impossible.

Le Russe sort du bar et là miracle, il se fait les trois prostituées d’un coup.
– Bravo, j’aurais jamais cru que c’était possible comment tu à fais ça ?

Et là le Russe baisse son pantalon et on distingue très nettement 3 sexes et il ajoute :
– En Russie, on m’appelle Bill, Tcherno Bill.

Quand Brejnev voulait ouvrir des boîtes de striptease

Brejnev au retour d’un voyage en Occident décide que pour attirer les touristes et gagner des devises l’URSS ouvrira également des boîtes de strip-tease. La création des cabarets est inscrite dans le plan et le meilleur bureaucrate est désigné pour en assurer l’exécution. Un an après, Brejnev le fait venir et demande le bilan :
– Alors, camarade, combien de boîtes de nuit ouvertes à Moscou ?
– Dix, camarade Premier Secrétaire !
– Et quel bénéfice ?
– Pas de bénéfice hélas, camarade Premier Secrétaire !
– Comment ! Mais as-tu vérifié que tout a été fait pour attirer le touriste occidental ?
– Oui, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la vodka est bonne ?
– La meilleure, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la musique est bonne ?
– La plus moderne, camarade Premier Secrétaire !
– Ah, j’y suis, dit Brejnev, je suis sûr que les filles n’ont pas été bien choisies !
– Ah si camarade Premier Secrétaire ! Elles ont toutes leur carte du parti depuis la Révolution d’Octobre !