blague rosbif

Le bondage alimentaire

Dans une boucherie, une cliente s’extasie :
– Vous avez un art incomparable pour ficeler vos rosbifs. Quand avez-vous eu pour la première fois conscience de ce don ?
– C’était une veille de Noël. Mon épouse m’avait demandé de l’aider à disposer les guirlandes lumineuses sur le sapin. Au bout de dix minutes, nous nous sommes retrouvés si bien ficelés l’un à l’autre que nous n’avons pu remuer ni pieds ni bras jusqu’à ce que la femme de ménage nous délivre, le 26 décembre au matin.

Presque de la chance

Au PMU, un type raconte à un de ses amis :
– Samedi dernier, j’ai rêvé de cornichons, de jambon et de rosbif froid. Le lendemain dimanche, j’ai étudié de très près les chevaux engagés pour le tiercé mais aucun ne portait un de ces noms-là. En fin de compte, c’est un cheval qui s’appelait « Assiette anglaise » qui a gagné…

Le hachis parmentier d’anniversaire

Une mère de famille dépose, sur la table, un appétissant hachis parmentier.
– Hum ! S’écrie le mari, alléché, que fête-t-on, aujourd’hui ?
– Eh bien, répond la mère, c’est aujourd’hui le premier anniversaire de notre dernier rosbif dans le filet.