Le bondage alimentaire

Dans une boucherie, une cliente s’extasie :
– Vous avez un art incomparable pour ficeler vos rosbifs. Quand avez-vous eu pour la première fois conscience de ce don ?
– C’était une veille de Noël. Mon épouse m’avait demandé de l’aider à disposer les guirlandes lumineuses sur le sapin. Au bout de dix minutes, nous nous sommes retrouvés si bien ficelés l’un à l’autre que nous n’avons pu remuer ni pieds ni bras jusqu’à ce que la femme de ménage nous délivre, le 26 décembre au matin.

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