blague restaurateur

Le fou du restaurant

– Comment avez-vous su, demande-t-on à un restaurateur, qu’un de vos clients s’était échappé d’un établissement psychiatrique ?
– Il avait commandé un potage et quand je l’ai vu tenter de le manger avec son couteau, il m’a expliqué : « J’ai bien essayé avec ma fourchette mais elle fuit ».

Le chat du restaurateur

– Pourquoi, demande la petite fille d’un restaurateur, à son papa, tires-tu toujours méchamment la queue de mon chat ?
– C’est seulement pour le faire miauler afin de rassurer les clients. Car aujourd’hui, il y a du lapin au menu.

Délation familiale

Les perles : la justice

Sur la Côte d’Azur, un restaurateur belge a été arrêté neuf ans et neuf mois après le meurtre qui lui était reproché. À trois mois près, il ne pouvait pas être poursuivi. C’est sa belle-sœur qui a parlé à la police. On se méfie des belles-mères, mais on ne se méfie jamais assez des belles-sœurs.

Le restaurant judiciaire

Les perles : la justice

Un restaurateur voisin du palais de justice a une idée ingénieuse : confectionner un menu entièrement voué à la cause judiciaire. La nouvelle carte du chef est ainsi baptisée « Le panier à salades ».

Le client a le choix entre « le prévenu » (salade à base de chèvre chaud), « le faux témoin » (à base de fêta et d’olives noires), « l’alibi » (salade verte accompagnée d’œufs), « le verdict » (lardons et croûtons) et « le sursis », soit le droit d’attaquer directement par un plat dit « de résistance ».

Point « d’avocat vinaigrette » ni « d’avocat aux crevettes ». Plutôt discret, l’avocat n’est présent que dans une seule salade, « la relaxe », le chemin le plus court qui mènera à une saine digestion. Quant à la carte des sucreries, elle est joliment baptisée « Desserts en cavale ». Dans l’hypothèse où vous n’auriez eu droit ni au « panier à salades » ni au « sursis ».

La dynamique du sexe

Les perles : la justice

À la barre du tribunal, un restaurateur poursuivi pour atteinte sexuelle justifie ses gestes et baisers déplacés envers ses employées : « J’essaie de dynamiser mon équipe ». L’ennui, c’est que, de l’aveu de ses salariées et victimes, la « stratégie d’entreprise » ainsi déployée a produit exactement l’effet inverse.